La nouveauté, aussi étrange soit-elle...[Cam&Ben]

Ces plaisirs violents ont des fins violentes;
Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu,
Que leur baisé consume.

Roméo et Juliette, acte II, scène 5. William Shakespeare.

Après avoir passé un sommeil quelque peu agité à cause de l'orage qui avait éclaté la veille. Il avait préféré prendre place sur le fauteuil d'un marron cuir usé qu'il avait dans la chambre et contempler ce spectacle naturel et le bruit des éclaires déchirés le ciel, résonnant à cause des falaises un peu plus bas, ainsi que les vagues gigantesques fouetter les rochers.
Une foi dans les bras de Morphée, il eu un sommeil calme et posé pour après quelque heure se lever et se préparer pour son cours de sport de la journée. Il enfila un pull pour ne pas attraper froid, et un short assez large pour pouvoir bouger pour le sport. Une foi fait, il sortit, et arriva un peu plus tôt et courra autour du stade pour se réchauffer.
Une fumé sortant de ses narines et de ses lèvres quelque peu rougeâtre à cause du froid de l'hiver que se montrait. Un fois plusieurs minutes écoulé et son corps se réchauffant, il frotta ses mains, et souffla dedans, puis vit quelque élèves commencé a arriver. Il les salua gentiment en leurs offrant un grand sourire et regarda le ciel qui commençait à devenir blanc de neige.
Tout les élèves arrivé et se mit au centre et prit un air plus sérieux.

- Bonjour a tous! J'espère que tout le monde va bien et que vous avez prit un pull car aujourd'hui ça va être un peu différent, et le sport va se dérouler dehors.
Tout d'abord, je vais vous mettre en condition d'attaque! faire en sorte que vaut sens soit multipliés, et que votre adrénaline monte au plus au point! Aujourd'hui je vais vous exercer à tout se qui touche les aux sauts périeux!

Il aperçu plusieurs yeux s'écarquiller et quelque bouche s'ouvrir suivit d'exclamation de joie, il rit doucement

- Tant mieux si sa vous plait car c'est dans le programme! Allé GO! faite des tours du stade pour vous échauffer, je vous dirait d'arrêté.

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

Camille n'avait pas pu rencontrer la directrice lorsqu'elle l'avait voulu, étant occupé avec des histoires d'élèves. Elle se sentait même un peu soulagée de ce recul à prendre, ça lui permettait ainsi de reprendre ses marques dans ce lieu qui lui est si familier, agréable et ... envoûtant. C'était un délice que d'humer les odeurs de son Home Sweet Home. Elle pouvait se voir enfant, courant dans les couloirs une fois les élèves endormis, et le vieille homme, emmitouflé dans sa grande veste en peau blanche d'un animal dont le nom lui est inconnu la regardant avec une tendresse infinie.
Elle put donc installer ses affaires dans la chambre de son bienfaiteur qu'elle aimait tant. Les murs étaient légèrement vieux tout comme les tapisseries. Et cette odeur de menthe, cette odeur qu'elle avait tant de fois reniflé contre le vieille homme. Tout la faisait replonger dans un monde qui lui était tendre et douloureux à la fois.
Camille ferma les yeux avec douceur, respirant lentement. Elle pouvait revoir le vieille homme, se balançant sur son fauteuil, retrouvant son âme d'enfant. C'est sur ces dernières pensées, et sur c'est derniers souvenirs qu'elle s'endormit, l'orage ne troublant nullement son sommeil profond, hanté.
Le lendemain elle se réveilla, elle avait pris rendez-vous avec la directrice pour dans l'après-midi, afin de ne pas déranger cette fois.
Elle s'avança vers la fenêtre en s'habillant chaudement. Il semblait faire si froid, et pourtant c'était si attrayant. Il y avait comme quelque chose qui l'attirait dehors, elle sentait qu'elle devait sortir, c'était si puissant cette envie.
Elle n'avait ni manger, elle s'était juste habillée et passait déjà le pas de la porte. Ses pas la menèrent jusqu'au stade, le froid glacial prenant possession de ses joues d'ordinaire douces et fragiles. Ses lèvres se retroussèrent par réflexe et ses yeux se plissèrent. Elle passa la porte et repéra immédiatement des pensées, les pensées de quelqu'un d'innocent. C'était si étrange, elle semblait captivée par ces pensées ...pures? Elle avait l'impression de flotter sur un nuage.
Ses yeux arrivèrent jusqu'à ces pensées, et découvrir l'arrière d'une tête blonde. Elle l'avait déjà vu cet homme, il avait même de magnifiques yeux bleus, captivant, envoûtant. Un sourire s'afficha sur les lèvres de Camille, et lorsque les élèves commencèrent à courir, elle se retint de siffler pour attirer son attention. Mieux valait l'espionner un peu encore. Et puis...si elle n'était pas prise...Elle l'observa, attendant de revoir ces yeux qu'elle aimait.

Les élèves commencèrent à courir, écoutant le professeur. Certains riaient toujours, faisant des courses, tapant au passage des camarades pour les faire râler et accélérant pour évité les retombé de mains qui risquait d'arrivé sur l'arrière de leurs crânes.
Il croisa les bras amusé, les regardant. De vrai gamins, même a leurs âges.

Le froid commençait à devenir quelque chose de glacial, le faisant frissonner tout le long de la nuque, et serrer les dents, il leva la tête une nouvelle fois vers le ciel, qui semblait se remplir à chaque seconde d'un matière poudreuse, et froide. Depuis son retour à l'institut il n'avait encore pas eu la chance de voir la neige s'emparer des falaises, et les engloutir de sa poudre couleur blanche... Il sourit doucement, sentant un petit vent sur son visage, et eu un frisson se qui le fit revenir sur terre.
Mais... Une chose clochait, la qu'elle? il fronça les sourcils, et regarda les élèves courir, rien ne semblait les perturber... il porta son attention sur un côté, où on distinguait une vitre du gymnase, et... Un reflet, une jeune femme, un peu plus loin derrière lui, caché? non pas temps que ça, juste positionné de façon a ne pas être remarqué. Il ne la lâcha pas du regard, et sourit doucement, il ne voyait qu'une silhouette lointaine, un reflet, mais était comme attiré. Il remarqua alors son regard, qui le désignait... Ses lèvres s'étirèrent en un large sourire et en moins de une seconde il se retrouva dans le dos de cette jeune femme qu'il... avait déjà vu, mais où? Il l'avait quelque peu bousculé dans un couloir la veille...
Il contempla ses cheveux un instant, une odeur se dégageant, et l'apaisant...
Benjamin approcha le visage de son oreille et murmura doucement, amusé, toujours avec son ton délicat, et pourtant joueur?

- Enchanté mademoiselle, que me vaut l'honneur? Vous êtes?

Elle semblait encore plus "envoutante" de vrai que dans le reflet lointain qu'il avait aperçu il y a peu... Et pourtant, il ne voyait que son dos, et mourrait d'envie de voir son visage.
Dans son souvenir, elle avait un doux visage calme, et enfantin a la fois. Sans perdre une lueur de folie? amusement? Sa avait été flou, mais dans quelque instant, il le verrait, et distinguerai ses traies...

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

Camille avait passé la nuit dans la chambre de sa vie. Tout ces meubles qu'elle avait touché avec innocence, tout ces murs que ses doigts avaient frôlé de pureté, toutes ces odeurs qu'elle connaissait par coeur, et ces souvenirs qui la hantaient encore, et encore, et encore...
Bientôt elle devrait installer un autre lit, un clic-clac pour sa fille...Elle a 5 ans, et si...belle. Mais la douleur la tiraille, elle a le même don que Camille, et essaie de l'aider, tant les mots de tête l'assaillent. Mais bientôt tout ira mieux, il y a moins de monde à l'institut, plus facile de se concentrer.
Camille s'habilla chaudement, le froid la mordant déjà depuis la chambre. Elle sortit tout de même, poussée par une force inexpliquée et inexplicable. Cela vous est-il déjà arrivé de connaitre quelque chose plus fort que vous? Pas quelqu'un, mais quelque chose d'invisible.
Camille marcha, et vit le stade. Ses pas l'y menèrent, elle y entra, ne sentant pas le léger décalage de chaleur, c'est normal, il fait si froid. Camille fut assaillie de pensées plus fortes les unes que les autres, puis en entendit une envoûtante, enchanteresse, peuplé de douceur et de fantaisie. C'était si reposant pour elle.
Camille tourna alors la tête vers ces pensées et vit l'arrière d'une tête blonde fort bouclée. Elle l'avait déjà vu, avait même plongé son regard dans ses yeux bleu océan et y avait nagé avec plaisir, délice et désir. Elle comptait bien regarder ces prunelles azur à nouveau..et qui sait même le tourmenter.
Il s'est alors retourné, lui laissant le loisir de regarder la forme de son visage, qui semblait aussi douce que celle d'un enfant. Elle ne pouvait voir ses yeux, elle n'avait pas pris ses lunettes.
Soudain, elle entendit qu'il allait apparaitre derrière elle, si préparant, elle ne fut surprise d l'entendre dire au niveau de son oreille:

Enchanté mademoiselle, que me vaut l'honneur? Vous êtes?

Camille rit doucement, ne se retournant pas, que le jeu commence:

Ce n'est pas vous qui m'intéressez ici, mais les élèves, répondit-elle avec une fierté exagérée. Elle ne répondit par contre pas à son autre question, laissant durer un léger suspens. Elle marcha devant elle avec une élégance tout aussi exagérée, laissant une légère distance. Elle ne serait pas à sa merci.

Le froid emprisonnait ses poumons doucement, les compressant, les glaçants, deux gros glaçons se formaient et le faisait quelque peu trembler, à cause du peu de tissus qu'il portait...
Les élèves couraient, leurs rire perçait le silence qui s'était doucement installé quand il s'était mit a courir avant leur arrivé, faisant seulement entendre sa respiration irrégulière et essoufflé, ses lèvres légèrement rosé. Les feuilles mortes restant des arbres bordant le stade un peu plus haut fouettaient les unes contre les autres grâce au vent de l'hiver naissant.
Mais une chose se séparait de tout cela, une chose bien différente, plus calme, plus doux, plus... apaisant. Qu'est-ce? Il n'en avait pas la moindre idée, mais il devait le trouver. Il balaya le stade des yeux, d'un air interrogateur, et vint poser les yeux sur une des vitres du gymnase... Et l'aperçu, où du moins aperçu sa silhouette, une étrange silhouette aussi délicate que divine... Et en un clin d'œil, il se téléporta dans son dos, bornant un sourire amusé, et charmant, il ne fallait pas se leurrer...

"Enchanté mademoiselle, que me vaut l'honneur? Vous êtes?"

Qui était-elle? C'était difficile de le deviné de dos, malgré le légé souvenir qu'il avait d'elle, lors de cette petite bousculade dans le couloir. Il avait croisé son regard, et ceci avait bien duré une minute... Mais de dos, elle paraissait trop âgé pour être une élève. Il la regarda, envouté, et souriant, attendant une réponse de sa part. Mais seul un légé rire sortit et le fit sourire.

"Ce n'est pas vous qui m'intéressez ici, mais les élèves"

De la fierté résonnai dans sa voix, et elle marcha, d'une telle élégance qu'il sourit, envouté.

- Je vois, rit-il amusé. Vous êtes un des nouveaux professeurs de l'ile?

Il marcha derrière elle, regardant seulement son dos, et ses cheveux, puis, vint se mettre a sa droite, mais décalé, d'un pas derrière lui. Elle semblait vraiment ravissante... Pensa t-il.

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

Camille n'avait jamais eu de réelles envies de sa vie. Elle s'était rangée dans le clan des petites filles sages et sans intérêts, les seuls garçons qui l'avaient approchée avaient plus profité de son corps que de son esprit, ou même de ses sentiments. Elle s'était toujours trouvée sans intérêt et fade, elle pouvait se vanter d'avoir un corps de mannequin mais jusqu'à ces 18 ans, elle n'avait été que ça, un jouet. Mais une fois son diplôme en poche, camille devint une femme. Elle avait changé du tout au tout. Laissant les jeans affreux et les tee-shirts longs au placard, elle se vêtit de jupes et robe qui lui collaient à la peau comme une peau à un serpent. Elle était devenu la vipère des fantasme, avait brisé de nombreux rêves, de nombreux couples. Ce n'est que quelques années plus tôt qu'elle se calma et eut envie d'une vie plus calme. Et tout ça grâce à la mémoire de son bienfaiteur..et à la vue de la jeune fille de 10 ans qu'elle aide.
Elle n'a pas jeté ses vêtements de tentatrice, gardant cette par d'elle-même, mais elle ne joue plus les bourreau, préférant la douceur...ou presque.
Elle n'avait pas fais de jeux depuis des années...mais en croisant ses yeux, ici, dans cet établissement, ces instincts primaires s'était réveillés, et une soif de délice avait envahi ses veines. Elle allait jouer, jusqu'à l'en tuer elle l'espérait. Il semblait une bonne proie et un bon compétiteur. Cela promettait d'être amusant c'était certain.

Elle l'entendit se téléporter derrière elle, non pas par l'ouie, mais par l'esprit. Elle rit doucement, à croire qu'il commençait le premier coup d'échec, bonne idée d'utiliser le cavalier, mais un pion est plus efficace, c'est pourquoi elle s'avança de deux pas, rétorquant avec fierté:

Ce n'est pas vous qui m'intéressez ici, mais les élèves.

Camille l'entendit s'avancer et se poser non loin d'elle, regardant toujours tout droit, fixement.

Je vois, rit-il amusé. Vous êtes un des nouveaux professeurs de l'ile?

Elle sourit, se retourna vers lui, passant une main sur le col du pull du blond car il était mal mis et dit d'un ton vague:

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Le mystère demeure tout autant pour vous qui que vous soyez, que pour moi qui que je sois.

Elle souriait avec malice, jouant la carte du mystère avant de se remettre droite, lâchant sa vue pour celle des élèves. Elle entendit sa pensée *Elle semblait vraiment ravissante...* qui l'amusa beaucoup et à quoi elle répondit d'une manière énigmatique:

Merci, mais c'est ce qu'ils disent tous.

Elle se jouait de lui.

Voila des années qu'il n'avait pas remis les pieds sur cette ile, dix huit ans plus exactement... Depuis qu'il c'était fait viré étant jeune, pour avoir pénétré dans un endroit interdit grâce a son don, et bien entendu, avoir désobéis aux règles qui touchait a son don justement, il avait étant jeune, l'interdiction d'aller dans les endroits interdit, et lointain... Mais l'envi était trop puissante, il adorait ça, s'évader, loin des gens, loin des problèmes, et il en avait fait les frais...
Puis, il avait fait le tour du monde, se téléportant, n'importe où, faisant des choses aussi folle et dangereuse soit-elle! Comme sauter des chutes du Niagara, et avant même de toucher l'eau, réapparaitre au point de dépare. Les sensations fortes, il en était devenu a crocs durant son temps de liberté... Mais depuis son retour ici, depuis qu'il était devenu "droit", toujours un fond enfantin, plein de folie, certes mais jamais il n'avait refait autant de folie qu'à l'époque... si se n'est que de sauter des falaises. Et il avait toujours cette part de lui, qui n'arrivait pas a sortir, enfoui au fin fond, pourtant de demandant que cela...
Mais le regard qu'il avait croisé dans le couloir, lui avait fait tout remonté, en une décharge électrique, et il savait, qu'un jeu commencerai, mais quel jeu? Dangereux?

"Ce n'est pas vous qui m'intéressez ici, mais les élèves."

Elle marcha, plus loin, et il la suivit, amusé par se jeu qui naissait doucement.

"Je vois, rit-il amusé. Vous êtes un des nouveaux professeurs de l'ile?"

Il la regarda, toujours fixement, un léger sourire baignant son visage... Mais elle se tourna, et le regarda, droit dans les yeux. Ben ne cligna pas les yeux un seul instant, restant plongé dans son regard, mais elle s'avança, et passa sa main sur son col et le remis bien... Il sourit en coin, amusé, et sous le charme.

"Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Le mystère demeure tout autant pour vous qui que vous soyez, que pour moi qui que je sois."

Il se mordis la lèvre, plus qu'amusé, retenant un petit rire, et se perdit dans ses pensé, la trouvant ravissante... Et aussi étonnant soit-il elle parut répondre...

"Merci, mais c'est ce qu'ils disent tous."

Il entre ouvrit la bouche, perturbé, et pencha la tête, sans comprendre...

- Euh... De quoi ? Dit il

L'esprit pensant... Il la dévisagea, remarquant des petite fossette qui lui donnait un air enfantin, et charmant pensa t-il également.

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

"Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Le mystère demeure tout autant pour vous qui que vous soyez, que pour moi qui que je sois." répondit-elle en remettant son col en place.
Elle en profita pour détailler son visage, il avait un sourire qui l'aurait fais fondre il y a des années, elle était même sûre de l'avoir déjà croisé...Elle avait à peu près dix ans pensa-t-elle. Elle avait déjà croisé ces yeux d'un bleu si profond qu'on voudrait se noyer dans ce délice si grand, et possessif. Elle avait l'impression de reconnaitre cette chevelure blonde et douce comme elle le parait, dans le même couloir que la veille, il y a de cela des années...alors qu'elle jouait à faire la roue et qu'il passait. Elle se souvient de cette envie de lui courir après pour lui demander son prénom. C'est même ce qu'elle avait fait juste avant qu'il ne s'évapore...et ne revienne jamais devant ses yeux. Il avait comme disparu pour toujours, il a dix-huit ans...
Camille revint sur terre, mais avait, heureusement, maintenu ce sourire narquois sur les lèvres et se retourna.

Puis elle entendit une pensée plus que flatteuse sur sa personne et en sourit, avec malice, contemplant toujours les élèves qui courraient et faisaient des bêtises, ce à quoi elle répondit simplement, d'une manière las:

Merci, mais c'est ce qu'ils disent tous.

Elle s'attendait à une réaction hébétée comme il le fit, et donc ne broncha pas. Elle avait pris l'habitude de devancer les gens et leurs actions grâce à son don. C'en était presque lassant tant c'était facile. Mais il semblerait que son pouvoir à lui pourrait la prendre au dépourvu, et cela l'amusait.

Il pensa à nouveau des compliments qui la lassèrent à nouveau, elle s'assit en tailleur et rétorqua d'un ton désinvolte, désabusé:

Bien, maintenant que les éloges sur mon magnifique visage sont faites, comme le font tous les hommes que je croise, vous allez bientôt plonger vos yeux sur ma poitrine avec timidité et discrétion avant de vous demander si mes fesses sont fermes. Mais je vous passe tout ça pour la simple et bonne raison que c'est le même refrain à chaque fois.

Elle releva le visage vers lui et lui demanda s'il était là depuis longtemps. Son souvenir d'il y a dix-huit ans la hantant à cet instant.

Se pourrait-il qu'elle... Est le don de lire dans les pensé? cela serai possible après tout, ça c'était déjà vu chez des élève, donc pourquoi pas? Mais dans tout les cas, elle semblait être habitué a des "compliment pensant" si on pouvait appeler cela comme ça, voir même lassé... En même temps, comme il l'avait pensé il y a un instant, elle était ravissante, et les hommes devaient en profité.
Il la regarda et lui offrais un sourire, elle paraissait pensante, l'esprit ailleurs, loin, dans un autre monde, ou plutôt un autre temps dirons nous.
Benjamin remarqua des fossettes sur le coins de ses lèvres et sourit, c'était charmant, et une nouvelle fois, elle parut lire en lui...

"Bien, maintenant que les éloges sur mon magnifique visage sont faites, comme le font tous les hommes que je croise, vous allez bientôt plonger vos yeux sur ma poitrine avec timidité et discrétion avant de vous demander si mes fesses sont fermes. Mais je vous passe tout ça pour la simple et bonne raison que c'est le même refrain à chaque fois. "

Il ouvrit les yeux, abasourdit et la fixa, étonné. Jamais il n'aurai fait une chose pareil que de lui reluquer la poitrine! Et encore moi d'avoir des pensé aussi déplacé sur ses fesses! Pensa t-il outré.

- Je suis pas un voyeur! Merci bien de me prendre pour un pervers ambulant! Dit-il en la regardant

La jeune femme relava la tête vers lui, et le scruta pensive a nouveau et lui demanda si il était là depuis longtemps. Il la regarda et répondit

- Depuis plusieurs mois je dirais, ... Mais j'ai fais ma scolarité ici a vrai dire. Sourit-il, j'ai grandit ici, se lieu mais enchanté... J'adore se paysage, ses falaises, la mer, mais ... Je me suis fait virer étant jeune, donc j'ai du partir. Rit-il tristement. Je ne suis pas un fauteur de troubles! Dit-il précipitamment. seulement, j'adorais allé où justement j'avais pas le droit... Le paysage était magnifique, et bah a force, l'ancien directeur en a eu assez et ma mit a la porte. Pourquoi?

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

Bien, maintenant que les éloges sur mon magnifique visage sont faites, comme le font tous les hommes que je croise, vous allez bientôt plonger vos yeux sur ma poitrine avec timidité et discrétion avant de vous demander si mes fesses sont fermes. Mais je vous passe tout ça pour la simple et bonne raison que c'est le même refrain à chaque fois.

C'était toujours la même chose, elle trouvait ça lassant, voir épuisant. Personne ne se demande jamais si elle est gentille, où si ils pourraient être amis. Non, c'est toujours * est-ce qu'elle est bonne?* ou encore * est-ce qu'elle est ouvertes aux divers éventualité?* Mais jamais une pensée sympathique...là encore c'était simple, mais même derrière les personnages les plus gentils, se cachent des envies et des arrières pensées. C'était écœurant à la longue. Et même dans ce regard doux elle avait l'impression de revoir des yeux avide de contacts physiques. C'était normal pour elle de privilégier le psychique au vu de son pouvoir.

Je suis pas un voyeur! Merci bien de me prendre pour un pervers ambulant!

Elle rit doucement et dit qu'elle avait un peu de mal à le croire et dit:

N'avez-vous jamais fais ça? Regarder une femme comme un objet? Pas une seule fois de votre vie?, demande-t-elle suspicieuse.

Elle le regarda, il avait le même visage que son ange disparu il y a dix-huit ans. Elle avait tant rêvé, fantasmé sur son retour. Mais aujourd'hui elle avait grandi et ce n'était qu'un souvenir.
Elle lui demanda alors s'il était là depuis longtemps, ce à quoi il répondit:

Depuis plusieurs mois je dirais, ... Mais j'ai fais ma scolarité ici a vrai dire. j'ai grandit ici, se lieu mais enchanté... J'adore se paysage, ses falaises, la mer, mais ... Je me suis fait virer étant jeune, donc j'ai du partir. Rit-il tristement. Je ne suis pas un fauteur de troubles! seulement, j'adorais allé où justement j'avais pas le droit... Le paysage était magnifique, et bah a force, l'ancien directeur en a eu assez et ma mit a la porte. Pourquoi?

Camille l'observa et murmura:

On s'est déjà vu, c'est pour ça.

Elle se reconcentra sur les élèves légèrement épuisés, mais qui faisait toujours les enfants.

Elle semblait le prendre pour un de ses hommes qui ne voyait les femmes que pour les mettre dans son lit... Il la regarda, quelque peu étonné, vexé? Un peu, mais si elle avait croisé que des hommes ainsi, c'était normal... Donc, pas de sa faute.
Mais se n'était pas sa beauté qui l'attirai réellement, c'était ce reflet enfantin quelle avait, se regard, qui semblait révéler autre chose, quelque chose de plus profond, une sagesse... Il la regarda, sérieusement, pas un de ses regards "mourant d'appétit" mais plutôt un autre regard, cherchant.

"N'avez-vous jamais fais ça? Regarder une femme comme un objet? Pas une seule fois de votre vie?,"

Il reprit ses esprits et la regarda déconcerté.

- Pas ainsi non, j'ai déjà eu envi bien entendu comme tout le monde! Mais jamais je n'ai traité une femme comme un objet.

Il disait la vérité, se n'était pas un salaud... Des femmes lui avaient déjà fait envi, bien sur! Il avaient déjà couché avec des femmes, même d'un soir, mais jamais en les utilisant, les femmes venaient vers lui, ils discutaient et cela finissait comme ça devait se finir...
La jeune femme lui demanda si il était la depuis longtemps.

"Depuis plusieurs mois je dirais, ... Mais j'ai fais ma scolarité ici a vrai dire. j'ai grandit ici, se lieu mais enchanté... J'adore se paysage, ses falaises, la mer, mais ... Je me suis fait virer étant jeune, donc j'ai du partir. Rit-il tristement. Je ne suis pas un fauteur de troubles! seulement, j'adorais allé où justement j'avais pas le droit... Le paysage était magnifique, et bah a force, l'ancien directeur en a eu assez et ma mit a la porte. Pourquoi?"

Elle le regarda, et murmura calmement.

"On s'est déjà vu, c'est pour ça. "

Il fronça les sourcils et la regarda...

- Vous m'avez un visage familier, mais je ne saurais dire d'où... Il la scruta du regard. Et vous? vous êtes déjà venu ici au par avant?

Il porta son regard vers les élèves

- C'est bien! Maintenant marché, et étiré vous bien!

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

N'avez-vous jamais fais ça? Regarder une femme comme un objet? Pas une seule fois de votre vie?

Ce n'était pas vraiment une question et qu'il dise le contraire comme ile le fit avec :Pas ainsi non, j'ai déjà eu envi bien entendu comme tout le monde! Mais jamais je n'ai traité une femme comme un objet. , sonna faux à ses oreilles. Elle ne le croyait pas et ne le croirait pas. Il avait juste oublié le jour où cela lui est arrivé.
Camille lui demanda ensuite s'il était déjà venu ici, il répondit alors:

Depuis plusieurs mois je dirais, ... Mais j'ai fais ma scolarité ici a vrai dire. j'ai grandit ici, se lieu mais enchanté... J'adore se paysage, ses falaises, la mer, mais ... Je me suis fait virer étant jeune, donc j'ai du partir. Rit-il tristement. Je ne suis pas un fauteur de troubles! seulement, j'adorais allé où justement j'avais pas le droit... Le paysage était magnifique, et bah a force, l'ancien directeur en a eu assez et ma mit a la porte. Pourquoi?

Elle le scruta avec attention, c'était comme un rêve oublié. C'était donc bien lui, c'était donc bien ce qui c'était passé ici. Il avait bien disparu du jour au lendemain pour une raison qu'elle apprit seulement aujourd'hui. On dirait un rêve brisé, finalement il était pas mort au combat, ni disparu sur une île déserte comme robinson crusoé que j'avais tant aimé lire. Il avait juste été renvoyé. Ce n'était pas un aventurier, juste un gars normal.

On s'est déjà vu, c'est pour ça. dit-elle sans réel enthousiasme.

Elle n'avait pas fais que le voir, elle l'avait aussi rêvé, admiré, idéalisé et fantasmé des nuits et des nuits durant, des jours et des jours durant. Tout ça était absurde, mais que voulez-vous, quand on a 10 ans, c'est tout ce qu'on peut faire. Rêver.

Vous m'avez un visage familier, mais je ne saurais dire d'où... Et vous? vous êtes déjà venu ici au par avant?

Elle sortit alors de sa rêverie, il était tant de revenir sur terre, et de jouer une autre pièce de l'échiquier, car la partie ne faisait que commencer.
Elle se releva alors, reprenant un sourire arrogant et dit en posant sa main sur son bras avec un clin d'oeil:

ça ça sera pour une autre fois, d'accord beau gosse?

Elle jouait un peu, la nostalgie ayant pris possession de son corps, elle devait se ressaisir un peu. Elle tourna alors autour de lui comme un tigre tournant autour de sa proie et dit d'un ton aguicheur:

Et qu'est-ce qu'un si joli morceaux fait-il ici alors qu'il pourrait conquérir le monde?

Elle se moquait un peu, le provoquait.

"Depuis plusieurs mois je dirais, ... Mais j'ai fais ma scolarité ici a vrai dire. j'ai grandit ici, se lieu mais enchanté... J'adore se paysage, ses falaises, la mer, mais ... Je me suis fait virer étant jeune, donc j'ai du partir. Rit-il tristement. Je ne suis pas un fauteur de troubles! seulement, j'adorais allé où justement j'avais pas le droit... Le paysage était magnifique, et bah a force, l'ancien directeur en a eu assez et ma mit a la porte. Pourquoi?"

Pourquoi posait-elle cette question? Pourquoi elle le regardait ainsi? une ancienne connaissance? L'avait-elle déjà vu? déjà parlé? Il n'en savait rien, si, il savait une chose: Elle lui disait quelque chose... Mais d'où?

"On s'est déjà vu, c'est pour ça." Son ton ne transmettait rien ce coup si, ni humour, ni enthousiasme... Il la regarda, cherchant une réponse dans un regard.

"Vous m'avez un visage familier, mais je ne saurais dire d'où... Et vous? vous êtes déjà venu ici au par avant? "
Demande t-il espérant une réponse. Elle se souvenait de lui, c'était certains, mais d'où? Et lui dirait-elle ? Et la rêverait-elle après? étrange tout cela.

Mais elle se leva, reprenant une sorte de contrôle, et posa sa main sur son bras, et lui fit un clin d'œil, ajoutant:

"ça ça sera pour une autre fois, d'accord beau gosse? "
Il lui sourit amusé. Et elle se mit a tourner autour de lui... comme un chasseur, face a sa proie... avec un air aguicheur.

"Et qu'est-ce qu'un si joli morceaux fait-il ici alors qu'il pourrait conquérir le monde?" Il rit et attrapa son bras, délicatement, l'arrêtant, et posa son index sur son front amusé:

- Je préfère m'occuper de mes gosses plutôt que de devenir roi ! Rit il en montrant ses élèves.

Il se téléporta d'un coup dans son don, et murmura...

- Et vous, je vous trouve amusante et sympathique !

Il sourit et se téléporta aussi rapidement face a elle, et la salua royalement amusé.

Nombre de messages : 25 Age : 26 Date d'inscription : 23/12/2009

On s'est déjà vu, c'est pour ça.

Elle dit ça d'un ton las. Rêve brisé d'une enfant.
Puis elle se reprit, elle avait décidé de jouer, à elle d'avancer une pièce. Qui prendre le fou ou la reine? C'est avec sa phrase : Vous m'avez un visage familier, mais je ne saurais dire d'où... Et vous? vous êtes déjà venu ici au par avant? , qu'elle décida de jouer la reine, périlleux, mais tentateur.
Elle lui sourit alors, avec une malice exagérée. Elle attrapa son bras et dit, appuyant doucement sur son muscle, elle lui sourit, il semblait bien battis tout de même.

Ça ça sera pour une autre fois, d'accord beau gosse?

Elle tourna ensuite autour de lui, comme le cavalier avance en L. Elle tournait doucement, espérant le déstabiliser quelque peu.

Et qu'est-ce qu'un si joli morceaux fait-il ici alors qu'il pourrait conquérir le monde?

Mais il l'arrêta en riant, elle lui souriait avec malice et tentation. Elle jouait un peu, mais il semblait reprendre les reines de la situation.

Je préfère m'occuper de mes gosses plutôt que de devenir roi !

Elle entendit qu'il allait se téléporter, ce qu'il fit, elle ne sursauta pas, ne bougea pas, elle avait été préparé alors. Elle ne montra même aucun signe de faiblesse.

Et vous, je vous trouve amusante et sympathique !

Elle releva un sourcil à cette phrase, mais qu'est-ce qui lui prenait. Elle ne dit rien, préférant ignorer cette phrase inutile, puis le vit se métamorphoser devant elle et sourit, riant en le voyant se baisser pour un salut de roi. Elle éclata de rire, rejetant la tête en arrière. Elle fit à son tour la révérence et sourit avant de lui dire:

En d'autres circonstances je vous aurais bien invité à danser, mais il semblerait que nous ayons des spectateur mon prince, se moqua-t-elle avant de pouffer de rire aux pensées et sifflements des jeunes adolescents derrière.

"Ça ça sera pour une autre fois, d'accord beau gosse?"

Il rit doucement et la regarda faire, elle avait posé sa main sur son bras, au niveau de son muscle se qui le fit sourire encore plus amusé qu'au dépare. Elle semblait le chercher.

Et après un instant, elle commença a tourner autour de lui, que faisait-elle? Il ria amusé, et la regarda,il était seulement spectateur.

"Et qu'est-ce qu'un si joli morceaux fait-il ici alors qu'il pourrait conquérir le monde?"

Il rit de nouveau, et l'arrêta en prenant doucement se bras, et se téléporta dans son dos, lui murmura qu'il préférait être professeur que de devenir roi. Et qu'il la trouvait sympathique. Il rit de nouveau, et se téléporta face à elle et la salua royalement. Ce quelle imita à sa manière et ajouta tentatrice et avec amusement:

"En d'autres circonstances je vous aurais bien invité à danser, mais il semblerait que nous ayons des spectateur mon prince," Il regarda les élèves, et vit leurs regard et leurs rire, ainsi que quelque chuchotement.

- Des curieux très chére. Sourit-il toujours dans le jeu.

Il prit sa main, comme dans le temps, et lui baisa, la regardant dans les yeux, avec un sourire séducteur, voulu bien entendu, il jouait a son tour.