Don't believe what you see [Lulu & Alex]

Les élève commençaient à sortir, et peu à peu a s'éparpiller dans la cour toute blanche, et à pénétrer dans la forêt pour s'amuser avec la neige, faire des batailles de boule, comme ils l'avaient il y a peu. La jeune inconnue l'entraina jusqu'à l'institut et arrivé dans le couloir il se secoua comme un chien, la neige fondant sur ses habits, le froid l'emprisonnant.
Tout son corps frissonnait au contact de toute cette neige fondu, et glacé. Ses mains tremblaient, mais il gardait son sourire enfantin, la regardant amusé. Elle s'arrêta, et l'arrêta en même temps:

"J.e suis dans l'aile opposée, chambre 8. T'auras qu'à venir dans une
quinzaine de minutes disons, le temps que tu te changes, rit-elle"

Elle ne cessait jamais de rire, se qu'il appréciait, au moins, elle était toujours de bonne humeur !

Elle commença à partir puis se retourna et marcha à reculons, il la regarda amusé et lui lança un hochement de tête interrogateur.

"M'appelle Alexandra!"

dit-elle puis se tourna et se mit a courir rapidement. Il rit en la voyant, et lui fit un salut de militaire avec la main au niveau de son front, et rigola comme un enfant, et partit a son tour en riant vers son dortoir et sa chambre.

Lucas entra dans sa chambre, et se déshabilla et entra dans sa douche, il était trempé et aussi froid qu'un glaçon. Un vrai vampire! Voilà à cet instant a quoi il ressemblait le plus! Son teint était pâle et son regard était presque faible, pourtant fort a la fois, ses des iris était toujours d'un bleu puissant, à en rendre jaloux Poséidon lui même, en personne. Le jeune homme laissa l'eau bouillante couler sur lui, l'apaisant, le calmant même... Il passa sa main dans des cheveux mi-long qui prit un teint brun a cause de l'eau qui s'écoulait sur lui, glissant sur chaque partit de son corps, le réchauffant. Après plusieurs minutes, il décida enfin a sortir de la douche, et s'essuya rapidement, et enfila un autre jeans, et un t shirt plutôt clair caché par un pull rayé bleu foncé et noir, taillé quelque peu en V au niveau du col laissant apparaitre son t shirt.
Il sortit de sa chambre, et ferma a clef puis la rangea dans sa poche. Et partit a l'opposé, jusqu'à sa chambre comme dit, au numéro 8, et frappa a la porte.

***

Alexandra courut jusque sa chambre, souriant et pleine d'enthousiasme. Elle avait enfin rencontré quelqu'un qui était bon joueur, et c'était dur à trouver des gens comme ça. Elle était heureuse, il ne lui ressemblait pas, elle elle n'avait pas de limite, mais il lui ferait passer le temps au moins. Elle arriva à sa porte, mais fit tomber ses clé tant elle avait froid. Elle avait tremblait légèrement et donc les attrapa doucement, toujours souriante, et ouvrit enfin la porte. Une fois fait elle referma, mais pas à clé, et se déshabilla rapidement, laissant trainer ses vêtement partout, ^puis entra dans la salle de bain, et fila sous la douche précipitamment.
Ses doigts actionnaires le robinet vers chaud et l'eau commença à couler sur chaque partie de sa peau, de son corps, de son âme. Elle soupira de délice au contacte de cette douche réparatrice, seule l'eau arrête son caractère et ses folie, une fois sous la douche, elle est calme et apaisée. Elle peut enfin souffler et reposer ce lion qui se bat en elle, ses rugissement diminuant. Si elle avait été un animal, elle aurait été un lion ou une panthère. Quelque chose de sauvage en tout cas et de fort, dominant. Elle avait l'impression de perdre le contrôle d'elle-même et de le laisser à cette bête féroce qui la saisissait à chaque instant. Elle était dominée par ses propres envies, et c'était ça tous les jours, sans repos.
L'eau coulait toujours, alors qu'elle mettait sa tête sous le pommeau de la douche, sentant ainsi sa tête devenir plus légère. Sa peau respirait enfin, et elle pouvait sentir chaque goutte passer sur ses courbes joliment faites. Ses sens étaient au repos, et elle ferma les yeux pour détendre les derniers nerfs qui luttaient en elle, la rendant ainsi docile et détendue. Elle appuya ses mains au carrelage de la douche, respirant alors qu'elle rouvrait à nouveau les yeux, les posant sur le sol blanc qu'elle fixa longuement.
Elle avait toujours l'habitude de prendre de longue douche.
Elle s'assit ensuite sur ce sol blanc, l'eau coulant sur elle longuement, lentement et pourtant sauvagement, comme une brûlure sans fin. Elle ferma les yeux, ses genoux contre elle et revit le jeune Lucas avec qui elle avait passé un bon moment. C'était agréable de trouver quelqu'un de semblable à vous, de trouver un égal mais aussi une personne dissemblable. C'était exquis et pourtant aussi écœurante. Les antonymes se succédaient à cette sensation, mais un seul mot dominait vraiment:
C'était dangereux. Qui sait ce qui pouvait arrivé, autant le bien que le mal, autant le bonheur que le malheur, autant la chance que la guigne, autant la réussite que la défaite...autant l'amour que la haine. Un alter Ego est dangereux, un contraire tout autant.
Elle sortit ensuite de la douche après au moins 10 minutes, et enfila un premier sous-vêtement, quand soudain on frappa. Elle savait qui s'était et lui dit d'entrer, dos à la porte. Alors que la porte s'ouvrait, elle attrapait par terre son soutien-gorge.
Elle entendit son exclamation et en rit en se retournant vers lui, vêtue de sous-vêtements uniquement. Elle alla ensuite près de lui, car il était à côté du meuble où étaient ses autres vêtements qu'elle enfila sans réelle gêne, après tout, c'était les filles qui l'attiraient.
Elle s'habilla complètement, d'un jean et d'un tee-shirt noir, simple, ainsi que d'un gilet blanc en laine très fin, il fait pas froid à l'intérieur. Puis elle rangea rapidement, dommage qu'elle n'ait pas le don de rapidité, avant de se retourner vers lui, les mains sur les hanches et de dire en un sourire moqueur:

Désolée du retard, mais tu es arrivé vachement vite. Voilà je suis prête!

L'eau glissa lentement sur son corps encore glacé, faisant apparaitre un nuage de fumé qui captura toute la pièce de son emprise infernal et pourtant, délicieuse. Il secoua ses cheveux sauvagement pour retirer l'eau glacer et la remplacer par cette chaleur étouffante et excise à la fois. Lucas sortit de la douche après un instant de détente, et mit une serviette autour de sa taille, et s'installa devant son miroir et posa ses mains sur le lavabo, et secoua sa tête dans tout les sens éclaboussant le miroir de millions de petite gouttelettes d'eau, puis se regarda mais ne vit qu'un reflet extrêmement flou a cause de cette pellicule d'eau qui si était déposé, il sourit amusé et finit de s'essuyer puis, finalement s'habilla.
Le jeune homme ne prit pas de veste, ils s'étaient déjà bien amusé à l'extérieur, ils allaient surement resté à l'intérieur. Il sortit de sa chambre, fermant la porte a clef, et enfouissant sa clef dans sa poche, et descendit les escaliers, et traversa le long couloir, allant jusqu'au dortoir à l'opposé. Une fois devant la porte de son amie, car après cette mâtiné plus qu'amusant parmi les arbres et la neige toute fraiche, et se lancer des boules de neige, sauter sur la glace gelé qui avait craqué sous leurs pieds et les avaient fait plonger pour un bain obligatoire, et tranchant, après autant de rire, et d'amusement, il pouvait dire qu'ils étaient amis non? Du moins plus que de simple connaissance que l'on salut poliment lorsque l'on croise cette dite personne dans une rue.
Lucas frappa de son poing, délicatement à la porte, et entendu la voix de la jeune fille résonner dans sa chambre un "entré". Il posa donc ses mains sur la poignée de la porte, l'enclencha, et entra. Mais a peine avait-il entré dans la pièce qui la surprit lui tournant le dos et encore heureux! Car celle-ci fit moitié nue! Il sursauta stupéfait, et lâcha un cri de surprise et lui aboya dessus:

- Rho Alex! Habille toi!

Celle-ci enfila son soutien gorge lui tournant le dos. Il se tourna d'un coup, les joues devenant quelque peu rosé... Il fixa la porte grognant, et se tortillant les mains. Il la sentit s'approcher et tourna la tête la pensant habillé, mais elle était seulement en sous-vêtement. Il grogna une nouvelle fois en tournant de nouveau la tête et attendit qu'elle soit habillé.

"Désolée du retard, mais tu es arrivé vachement vite. Voilà je suis prête! " Il se tourna, elle avait un ton moqueur, et semblait ne pas se rendre compte de la tenu qu'elle avait porté face a lui.

- Non mais pourquoi tu ma ouvert!

L'eau s'enclencha sur sur sa peau à la fois glacée par la neige, glacée par l'eau. Glacée par des sensations multiples et déstabilisatrices. Glacée par le contact des flocon si doux et si légers. Glacée par la foudre de l'eau, ses multiples couteaux qui l'avaient transpercée plus tôt, alors qu'elle voulait embêter le jeune Lucas. Glacée pour des raisons qu'elle ignore encore. Glacée par la nouveauté de ce lieu qu'elle idolâtre d'ors et déjà. Glacée par la perte d'amis chères qu'elle avait dans son autre école et qu'elle ne reverrait sûrement pas. Glacée par sa vie d'avant qu'elle ne récupèrerait jamais.
L'eau s'enclencha aussi sur peau à la fois chaude par ce lion sauvage qui brûlait ses entrailles à lui faire hurler de douleur. Par cette force qui domine chacun de ses mouvements les plus tendres ou les plus fougueux. Par des sensations nouvelles qu'elle apprendra plus tard, par le corps et l'esprit. Par cette folie qui l'anime chaque jour à chaque instant de sa vie depuis qu'elle sait comment elle s'appelle.
Lex brûlait sous la douche pour des raisons qu'elle ignorait encore. L'avenir le lui dirait. Elle tremblait légèrement. Elle mit ses mains contre le carrelage et baissa la tête, se laissant mouiller le cuir chevelu qu'elle brossait chaque matin. Elle respirait fortement, étouffée par la buée qui l'englobait et prenait possession de ses poumons. Elle étouffait, mais pour rien au monde elle n'aurait éteint l'eau, s'asseyant même au sol afin de calmer ses envies dévastatrices. Le lion en elle se calmait.

Après 10 minutes de douche, elle sortit et enfila un premier sous-vêtement puis sortit de la salle de bain. Elle commença à mettre son soutien-gorge lorsqu'on toqua à la porte, elle savait que c'était Lucas et lui dit alors d'entrer alors qu'elle agrafait son soutien-gorge. En entendant sa protestation elle rit et alla vers lui pour ouvrir le tiroir du placard juste à côté, puis elle s'habilla, enfilant un jean, un tee-shirt noir et un gilet blanc très doux.
Elle se dépêcha de ranger ses vêtements salle puis se planta devant lui et dit d'un ton moqueur:

Désolée du retard, mais tu es arrivé vachement vite. Voilà je suis prête!

Il se retourna alors, elle pouvait enfin le voir de face et l'entendit:

Non mais pourquoi tu ma ouvert!

Lex leva les yeux au ciel. Elle rêve: Un puceau! Ca existe encore ça? Elle rit doucement et leva un peu les bras, jouant l'innocente et à la fois la chieuse:

Rho ça va, je savais pas que t'étais puceau. C'est pas ma faute si t'es si pudique, moi ça me dérange pas tu sais.

Elle lui souriait, le taquinait et lui montra la porte:

Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?...

Elle sourit en coin et continua:

Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin.

Elle jouait avec sa pudeur et sa timidité. Il rougissait presque, c'était ridicule mais tellement mignon!

Il était sortit de la douche et s'était planté devant le lavabo et regardait son reflet, et ses cheveux dégoulinant sur son front et ses oreilles sans oublier sa nuque qui était trempé! Il sourit amusé et agrippa la lavabo et secoua sa tête dans tout les sens faisant sécher, enlevé le trop plein d'eau qui emprisonnait ses cheveux qui reprenait doucement sa couleur châtain, avec quelque mèche humide gardant un reflet brun. Il releva les yeux vers le miroir ou seulement apparaitrait un reflet extrêmement flou à cause de cette fine pellicule d'eau qui si était déposé précédemment. Il prit une serviette et essuya le carreau en rigolant doucement, puis finit de se sécher rapidement.
Le jeune homme s'habilla rapidement trouvant un jeans, un t shirt et enfila un pull par dessus. Il sortit de sa chambre gardant ses clef en main pour fermer et les glissa dans sa poche. Il descendit les escaliers en saluant quelque élèves qu'il connaissait, et traversa le long couloir où quelque fauteuil décorait le hall, il sourit en regardant les décoration, de jeunes élèves, dix ans il pourrait deviner, étaient en train de décorer le grand hall de guirlande et de boules de noël, certaine étaient rouge, d'autre d'un beau bleu roi et certaine était blanche, ornée d'argents sur le côté. Il surpris même quelque jeunes accrocher une longue guirlande avec le don du vent, une légère brise souleva la longue guirlande verte comme les sapins qu'ils avaient vu dans la forêt et prit place juste au dessus d'une porte.
C'était bien décorer, et les jeunes semblaient s'amuser. Sourit en regardant quelque chaussettes accrocher sur un sapin, attendant surement l'arrivée de chocolats. Lucas arriva au bout du long couloir et grimpa les nouvelle marches deux par deux, et arriva dans le second dortoir, et frappa a la porte de la jeune fille. Il entendit sa voix lui dire d'entré, et il obéis. Mais a peine avait-il pénétré dans la chambre qu'il la vit dos a lui, simplement en culotte en train d'enfiler son soutien gorge. Il lâcha un cri surpris et lui grogna son prénom en se tournant gêné et ceci la fit rire... Elle était pas possible... ! Et encore moins pudique!
Elle s'excusa de son retard se qui le surpris d'autant plus.
Il lui demanda pourquoi elle lui avait ouvert, si elle était pratiquement nue en plus.

"Rho ça va, je savais pas que t'étais puceau. C'est pas ma faute si t'es si pudique, moi ça me dérange pas tu sais."
Il la regarda étonné et lui balança un coussin qui trainait non loin

- Qu'est ce que t'en sais si je suis puceau ou pas!

Il sourit taquine et ajouta

"Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?..."

Elle sourit en coin et continua:

"Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin."

Il se retiens de rigoler et lui tapa doucement l'arrière de sa tête et s'esclaffa tout de même

- Tait toi!

Alex sortit de le douche, sentant la morsure du froid de la salle de bain dans ses membres, hérissant sa peau. Elle s'approcha du miroir en s'essuyant et effaça la buée qui était sur le miroir, secoua ses cheveux roux pour les essorer un peu, puis passa sa serviette dans ses cheveux pour les sécher mieux. Elle tira aussi la langue au miroir pour jouer. Le lion avait repris le dessus sur elle. Elle dansa légèrement sur une chanson imaginaire. Elle mit ensuite son sous-vêtement puis sortit et attrapa son soutien-gorge et commença à la mettre quand quelqu'un frappa, c'était Lucas elle en était sûre. Elle lui dit d'entrer, refermant son soutien-gorge, puis se retourna et rit à son exclamation, elle alla ensuite attraper des vêtements et les enfila, souriant par sa pudeur et son air gêné. Elle rangea à la vitesse de l'éclair quelques vêtements qui trainaient. Puis elle se posta devant lui, souriant et s'excusa du retard. Il s'exclama qu'elle l'avait accueilli à moitié nue, ce à quoi elle répondit, moqueuse et joueuse:

Rho ça va, je savais pas que t'étais puceau. C'est pas ma faute si t'es si pudique, moi ça me dérange pas tu sais.

Elle rit en attrapa le coussin avant qu'il la frappe, le mettant dos au lit et rit quand il dit:

Qu'est ce que t'en sais si je suis puceau ou pas!

Elle leva un sourcil et s'approcha de lui, et posa un doigt sur ses joues:

Ce sont tes jolies petites joues toutes rouges qui me le disent, se moqua-t-elle.

Puis elle continua en lui indiquant la porte derrière elle:

Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?... Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin.

Elle se moquait de lui, et évita sa tape, entendit son "tais-toi!" et le poussa jusqu'au lit sur lequel elle le fit tomber avant de le marteler de coups de coussin, et de chatouilles, alternant l'un puis l'autre. Elle lui disait en même temps, moqueuse et taquine:

Alors comme ça on est pudique? On a jamais vu de femme dévêtue autre que sur un magasine ou à la télévision. Mais c'est qu'il est mignon, avec sa belle innocence, joua-t-elle.

Il arriva a sa porte et frappa deux fois, attendant une réponse qui ne se fit pas attendre, il entendit sa voix résonner de derrière la porte un entré, et se fut se qui fit. Mais une fois entré dans sa chambre, il fut aussi surpris que gêné de la voir habillé si peu, seulement une culotte... Et elle mettait son soutien gorge, de dos bien entendu! N'abusons pas non plus, quoi que... Il était persuadé qu'elle en était capable ! Il se tourna gêné les joues prenant un teint plus rouge et grogna a son égare et attendit. Il l'entendit s'approcher et se tourna mais se rendit compte quelle était toujours en sous-vêtements, et se remit face a la porte, gêné. Attendant qu'elle finisse, rapidement, car sinon il allait vraiment ressembler à une pivoine... Il Serra les dents, le gêne le gagnant à nouveau et attendant.
Elle s'excusa de son retard et il se tourna a nouveau vers elle, certes d'après le peu qu'il ai vu elle était très bien faite..., mais tout de même !

"Rho ça va, je savais pas que t'étais puceau. C'est pas ma faute si t'es si pudique, moi ça me dérange pas tu sais."

Il grogna à nouveau et lui lança un coussin qu'elle attrapa avant qu'il ne la touche.
"Qu'est ce que t'en sais si je suis puceau ou pas! " aboya-t-il en lui tirant la langue. Elle s'approcha et posa ses doigts sur ses joues.
"Ce sont tes jolies petites joues toutes rouges qui me le disent, se moqua-t-elle."

Il lui fit une grimace, certes... Il n'avait rien fait, il fallait l'avouer, mais quand même!
Puis elle continua en lui indiquant la porte derrière elle:

"Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?... Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin."
Elle se moquait, le cherchait il leva la main et essaya de lui taper l'arrière de la tête en lui disant de se taire, mais elle esquiva et le poussa sur le lit en le chatouillant et le matraquant de coups pire les uns que les autres:

"Alors comme ça on est pudique? On a jamais vu de femme dévêtue autre que sur un magasine ou à la télévision. Mais c'est qu'il est mignon, avec sa belle innocence,"

Elle ne cessait de jouer, le chercher. Il ria aux éclats tentant de se défendre. Il l'attrapa et la fit tomber sur lui de dos et l'agrippa, ses bras la bloquant, il ria et la chatouilla a son tour, elle était bloquée ainsi, il avait le dessus, et elle riait, se qui le fit rire plus encore. Il la jeta a moitié de l'autre côté du lit, à sa gauche en riant. et lui donna un coup de coussin.

Elle s'excusa de son retard en souriant. Mais il s'exclama encore sur sa nudité. Qu'il était gamin, on dirait un enfant qui regarde à la tv un film et qui ferme les yeux lorsque le monsieur et la dame se font un bisou. Qu'il était pudique! Et elle s'en amusa, se moquant de lui:

Rho ça va, je savais pas que t'étais puceau. C'est pas ma faute si t'es si pudique, moi ça me dérange pas tu sais.

Elle rit quand il dit " Qu'est ce que t'en sais si je suis puceau ou pas!" et attrapa le coussin et le retourna, le mettant dos au lit en lui répondant d'un ton moqueur, ses doigts touchant ses joues:

Ce sont tes jolies petites joues toutes rouges qui me le disent

Elle souriait et lui indiqua la porte avant de lui dire, d'une voix taquine, narquoise, moqueuse:

Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?... Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin.

Elle évita sa tape d'une rapide esquive puis le fit reculer, jusqu'à le faire tomber sur le lit et alterna les coups de coussins et les chatouilles à l'en faire mourir. Mais il avait de la force le gamin! Et elle rit en se sentant retournée sur lui, atterrissant sur un torse dur, maintenue par ses mains fermement, et chatouillée avec énergie. Elle riait en n'en plus pouvoir respirer. Il cherchait décidément à la tuer. Elle fut ensuite projetée à gauche et martelée de coups de coussin! Elle essaya de se défendre comme elle le put, mais ne réussi qu'à attraper le coussin avec lequel il la tapait et à le balancer à l'autre bout de la pièce avant de grimper sur lui, penchée sur lui, piégeant ses mains dans les siennes au niveaux de sa tête, posant ainsi son front contre le sien. Alex plissa le nez et le front et grogna comme un chien, essayant de maitriser ses rires qui lui tordaient le ventre avec force. Elle murmura:

Alors comme ça on joue au plus malin gamin? Mais là tu peux plus bouger!

Elle serrait fort ses poignets, mais faisait en sorte de ne pas lui faire mal. Elle s'amusait drôlement ainsi, le dominant.

Elle souriait et lui indiqua la porte avant de lui dire, d'une voix taquine, narquoise, moqueuse:

"Tu veux qu'on reste ici ou qu'on aille plutôt s'assoir à la salle commune?... Tu vois, c'est comme tu veux, mais si on reste ici je ne te garantie pas que tu ne trouvera pas une petite culotte trainer dans un coin."

Il rit et essaya de lui taper l'arrière de sa tête en lui disant de se terre, il ria et elle le poussa sur le lit où il tomba a la renverse. Elle l'empêcha de bouger en le chatouillant et la frappant avec des coussin, il rit aux éclats, se débattant. Les coups toujours aussi fort et les chatouilles lui faisant monter les larmes aux yeux tellement il riait. Mais il prit le peu de force qu'il lui restait, et l'attrapa dans ses bras et la fit tomber contre lui, contre son torse en riant, et la bloquant de ses bras. Lucas la chatouilla à son tour, la voulant voir rire aux éclats, en avoir les yeux qui pétilles comme des diamants a force de rigoler, que son ventre se torde, qu'elle soit plié en quatre, il voulait la faire "exploser" littéralement. Puis il la jeta sur le côté en riant et lui donna de grand coups de coussin pire les un que les autres.
Lucas riait presque aussi fort qu'elle mais elle attrapa le coussin et le fit voler dans la chambre. Celui-ci manqua de renverser quelque chose qui semblait fragile sur la table de nuit plus loin. Il rit mais elle prit rapidement le dessus pendant qu'elle le pouvait encore, et grimpa sur lui, capturant ses mains les une dans les autres et les serrant, les mettant aux dessus de sa tête le faisant prisonnière. Il la regarda amusé quand Alex posa son front contre le sien et retroussa le nez, en grognant comme un chien! Il remarqua ses deux fossettes grandir lui donnant une bouille de gamine de dix ans et faisant apparaitre ses dents, où il aperçu un petit trou charmant entre les deux de devant il sourit amusé, elle avait une de ces bouilles tout de même! Il adorait! Il se mit a rire et grogna à son tour. Mais il fit un levé de sourcils comme "tentateur" et soudain décolla du lit doucement la fixant amusé. Il décolla à plus d'un mètre du lit et l'agrippa pour ne pas quelle tombe et reste dans les airs avec lui, les cheveux d'Alex lui tombant près du visage en cascade.
Il se pencha en avants, arrivant à la verticale, la cramponnant a lui, pour pas quelle bouge ! Car il n'en avait pas terminé avec elle! Il rit et inversa les rôles, se retrouvant sur elle, ses cheveux couleur flamme tombant dans le vide, alors que la main de Lucas tenait sa nuque et l'autre le bas de son dos pour ne pas qu'elle puisse bouger. Il lui tira la langue et resta ainsi, dans les airs, la regardant amusé:

- Alors?! Tu fais comment maintenant? tu veux bien me dire? Rit-il

Lex le poussa sur le lit en évitant sa tape qui allait atterrir sur sa tête. Elle le martela ensuite de coups de coussin et de chatouille, passant de l'un à l'autre sans fin. Elle voulait même l'étouffer un peu, mais mauvaise idée. Surtout qu'il la retourna, la bloquant contre lui, ses mains la chatouillant et ses bras la serrant pour pas qu'elle s'échappe. Elle riait fort, fort! Son ventre se tordait et ses cordes vocales lui brûlaient comme si on avait allumé une allumette et l'avait frotté contre! Elle se retrouva ensuite poussée contre le mur, à gauche, et fut martelée de coups de coussin. Grr il allait lui payer ça cher! Elle essayait de se débattre, mais sans succès. Alors elle attrapa le coussin et le balança fort, il faillit même casser la lampe de chevet, mais tant pis car déjà elle montait sur lui, le maintenant de ses jambes sur ses hanches, elle bloqua ses mains au dessus de sa tête, les serrant fort pour pas qu'il s'échappe, mais pas trop pour ne pas lui faire de mal. Elle posa son front au sien et grogna comme un chien, le front et le nez plissé. Elle l'entendit lui rendre son grognement et en rit fort, ne pouvant garder son sérieux, même si ce qu'il font ne l'est pas du tout, mais alors pas du tout! Il changea tout à coup d'attitude, ce qui la surprit. Qu'est-ce qu'il allait faire....
Elle le sût bien assez tôt, car déjà elle quittait le lit et lui aussi. Elle rit et lâcha un petit cri de surprise, ce qui fit que quelqu'un ouvrit la porte, puis la referma, voyant qu'il ne se passait rien de grave. Mais elle n'avait pas vu que quelqu'un avait ouvert la porte trop paniquée. Elle riait toujours tout de même. Ils se retrouvèrent droit, a plus d'un mètre du sol! Woua pour faire la poussière au plafond et enlever les araignées il doit être vachement fort le gamin!
Elle voulut dire cette phrase à haute voix mais déjà il la retournait, la faisant rire encore. Une fois stables, elle le regarda dans les yeux, retenant ses rire et l'entendit dire en tirant la langue:

Alors?! Tu fais comment maintenant? tu veux bien me dire?

Elle rit et dit d'un ton moqueur:

Woua, elle en a de la chance ta copine, et d'un tu peux faire la poussières au plafond, et de deux tu voles, de quoi faire grimper au rideau, dommage que tu sois encore puceau!

Elle était moqueuse et en jouait et dit en riant vraiment cette fois:

Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche.

Il l'attaquait comme une sauvage! Elle le frappait a grand coup de coussin, plus fort les uns que les autres, amplifient même parfois, il riait aux éclats, et elle amplifiait en le chatouillant en plus! Il n'en pouvait plus, il riait aussi fort que si on l'avait étranglé! Les larmes lui montai aux yeux tellement il riait. Mais il respira un grand coup, et l'attrapa contre lui, et la fit tomber, la serrant fort pour ne pas qu'elle bouge mais en faisant attention a ne pas lui faire mal. Il la chatouillait pour qu'elle hurle aussi fort que lorsqu'il avait rit il y a un instant. Mais son rire était hilarant, un mélange de rire d'enfants comme ceux que l'ont entend dans les publicités, ou lorsque l'on fait des grimace a un bébé et qu'il explose de rire en nous regardant. Lucas rit en l'entendant, son rire était contagieux, c'était obligé de rigoler avec elle, en même temps. Il la jeta alors sur le côté, et attrapa un coussin et commença a la frapper avec doucement tout de même pour ne pas lui faire mal. Mais elle arriva a attrapé son coussin et le jeta a l'autre bout de la pièce, frôlant une lampe qui se serait surement cassé en mille morceaux. Il rit et tourna rapidement la tête pour resté sur ses gardes, mais se fut trop tard, car elle grimpait déjà sur lui, cola son front rau sien, plissant le nez et montrant ses dents en grognant tel un chien enragé! Elle attrapa ses mains et lui bloqua au dessus de sa tête en lui serrant. Il rit et la fixa, elle avait une de ces bouilles ! Mais une idée lui vint, et il fit un hochement de sourcils comme séducteur, puis il s'envola doucement du lit, elle lâcha un cri de surprise qui sembla alerter quelqu'un qu'aucun de ne vit, la personne referma la porte remarquant que se n'était rien. Lucas monta plutôt haut et la fixa amusé, il se pencha arrivant a la verticale, la serrant pour ne pas qu'elle tombe et inversa les rôles, se retrouvant sur elle dans les airs, et la bloquant pour ne pas qu'elle tombe. Il lui tira la langue:

"Alors?! Tu fais comment maintenant? tu veux bien me dire?"

Elle rit et dit d'un ton moqueur:

"Woua, elle en a de la chance ta copine, et d'un tu peux faire la poussières au plafond, et de deux tu voles, de quoi faire grimper au rideau, dommage que tu sois encore puceau!"

Il rit aux éclats en entendant sa phrase mais ne la relâcha pas pour autant.

"Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche."

Il rit et secoua la tête a l'écoute de la première partit de la phrase, et embrassa fortement sa joue en exagérant bien, exprès. Puis s'arrêta soudainement, prenant conscience de la suite, et perdu le contrôle, sous le l'étonnement.
Il retomba sur le lit, sur elle mais se rattrapa quelque peu pour ne pas l'étouffer, puis il la fixa étonné ses mains de part et d'autre de son visage la scrutant du regard:

- Tu es gay?!

Camille se sentit agrippée et chatouillée à l'en faire mourir de rire. Elle semblait sur le point d'exploser sous ses multiples assauts. Elle était comme une balle. Si elle n'avait pas un si grand orgueil, elle l'aurait supplié d'arrêter, mais comme ce n'était pas son genre, elle riait, se débattant alors qu'il la pousse sur le côté, la frappant d'un grand coup avec l'oreiller. Elle attrapa alors l'oreiller, et le balança à l'autre bout de la pièce dans le but de ne plus se faire taper avec, puis elle domina Lucas en grimpant sur lui, possédant ses hanches de ses jambes, ses mains s'imbriquant parfaitement dans les siennes, d'une manière forte mais indolore, puis elle grogna comme un chien grimaçant avec le nez et le front. Il grogna en retour, puis soudain devint comme...séducteur. Elle en était confuse et sursauta, cria même un peu mais rit, rit fort. Ils se retrouvèrent à la verticale, et elle rit, s'accrochant à son cou pour ne pas tomber. Elle était plus douce à cet instant, mais toujours souriant, riant fort. Elle lui fit un clin d'oeil puis se sera encore plus à lui, lorsqu'il se mit sur elle, dans les airs. Elle n'était pas du tout effrayée, elle avait confiance, mais était tout de même bien accrochée.
Elle sourit à ses paroles:

Alors?! Tu fais comment maintenant? tu veux bien me dire?

Lex rit, taquine et lui dit d'un ton moqueur:

Woua, elle en a de la chance ta copine, et d'un tu peux faire la poussières au plafond, et de deux tu voles, de quoi faire grimper au rideau, dommage que tu sois encore puceau!

Elle l'entendit rire et le suivit dans son rire, sentant son ventre se contracter de douleur. Puis elle continua:

Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche.

Il lui fallut une seconde pour l'entendre d'abord rire...avant de tomber avec lui sur le lit, lui sur elle. Il semblait stupéfait et surpris, ce qui l'amusait encore plus. Et même le bisou sur la joue de tantôt ne pouvait l'empêcher de rire tant sa tête était hilarante.

Tu es gay?!l'entendit-elle dire.

Elle rit davantage et se dégagea de son étreinte, se mettant sur le côté, la tête appuyée sur son bras, le coude droit pour se mettre face à lui. Ils étaient face à face, sur le lit et commença à lui parler:

Je m'en suis rendue compte il y a deux trois ans. La première fille qui m'a plu était une gentille fille timide de mon ancienne école, ça a duré un mois, j'avais été sa révélation, et elle la mienne si on veut.

Elle se pencha vers lui et lui murmura souriant, taquine et moqueuse:

Mais moi au moins j'ai pratiqué...loin si on veut.

Elle lui tira la langue et dit:

J'espère que tu connais au moins l'anatomie! Car vu la couleur de tes joues, j'ai un doute!

Elle rit fort.

Rien ne l'arrêtait! Après l'avoir presque jeté sur le côté il s'empara du coussin et la frappa avec en riant a explosé! Il la frappait avec en faisant tout de même attention a ne pas lui faire mal, seulement a l'embêter! Et qu'est ce qu'ils pouvaient rire ! Il en avaient mal au ventre. Mais en moins de deux secondes elle attrapa le coussin et l'envoya a l'autre bout de la chambre, il se mit a rire, et la vit grimper sur lui et capturer ses mains, les emboiter, et les serrer les mettant aux dessus de sa tête pour le bloquer, ses jambes qu'il avait vu nue il y a de sa une bonne vingt minutes! s'enroulèrent autour de ses hanches les bloquants et elle se pencha sur lui, posant son front au sien, et prit un air encore plus sauvage que d'habitude et retroussa le nez et montrant ses dents en une grimace hilarante! Et si trognon a la fois! Il rit et lui fit un signe de sourcil des plus séducteur qu'il pu et en deux seconde il commença à décoller du lit. Il se mit a rire face à son air surprit. Lucas passa de l'horizontal à la verticale en la serrant pour quelle reste en l'air avec lui, il sentit ses bras serrer son cou et se serrer d'avantage lui pour ne pas glisser, et les rôles s'inversa rapidement. Il passa sur elle et la regarda amusé. Taquin. Il rit et la fixa.

"Woua, elle en a de la chance ta copine, et d'un tu peux faire la poussières au plafond, et de deux tu voles, de quoi faire grimper au rideau, dommage que tu sois encore puceau!"

Il rit de plus belle, et leva les yeux au ciel.

"Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche."
Il ne se rendit compte de sa phrase qu'après un moment, et il perdit le contrôle de la situation et tomba sur le lit avec elle.

"Tu es gay?!"
Elle se mit a rire, alors que lui était étonné. A vrai dire il n'avait jamais songé a quelle était les attirance sexuelle de Lex!
Alex se dégagea se son étreinte et se mit sur le côté, appuyé a son coude face a lui et raconta:

"Je m'en suis rendue compte il y a deux trois ans. La première fille qui m'a plus était une gentille fille timide de mon ancienne école, ça a duré un mois, j'avais été sa révélation, et elle la mienne si on veut."

Elle se pencha vers lui et lui murmura souriant, taquine et moqueuse:

"Mais moi au moins j'ai pratiqué...loin si on veut."

Elle lui tira la langue et dit:

"J'espère que tu connais au moins l'anatomie! Car vu la couleur de tes joues, j'ai un doute!"

Elle se mit a rire encore plus fort, il lui tira la langue

- Je sais quand même différencier un pénis d'un utérus merci bien Alex !

Il lui fit une grimace tentant d'arrêté se rougissement qui devenait plus qu'agaçant. Lucas la poussa tout doucement en arrière sur le dos vu quelle était appuyé sur son coude, juste pour l'embêter un peu.

- C'est facile comme ça, mais tu n'as pas réellement fait la chose, tu es aussi une petite vierge! Car tu n'as fait qu'expérimente avec une personne qui a les mêmes choses que toi donc tu es au même niveau que moi!

Lex le sentit se mettre sur elle, dans les airs, riant toujours. Ses mains étaient dans sa nuque pour ne pas tomber. Elle riait aux éclats, ils étaient complètement fou, ça c'est certain! Elle riait toujours lorsqu'il parlait du fait qu'elle ne pouvait plus rien faire. Elle se moqua alors de lui, comme depuis qu'ils s'étaient rencontrés:

Woua, elle en a de la chance ta copine, et d'un tu peux faire la poussières au plafond, et de deux tu voles, de quoi faire grimper au rideau, dommage que tu sois encore puceau!

Elle continua ensuite, toujours dans le but de l'embêter, le faire rougir même. C'était si drôle et si mignon!

Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche.

Elle n'attendit pas longtemps avant de tomber sur le lit, lui tombant sur elle de tout son poids. Elle s'y était un peu attendu tout de même, après tout, les garçons n'ont pas un détecteur d'orientation sexuelle! Sa question sur celle-ci semblait ridicule au vu de la phrase qui l'a précédée. Elle se posa sur le côté, mettant sa tête sur sa main, maintenue par son coude. Elle plongea son regard dans le sien en souriant, taquine:

Je m'en suis rendue compte il y a deux trois ans. La première fille qui m'a plus était une gentille fille timide de mon ancienne école, ça a duré un mois, j'avais été sa révélation, et elle la mienne si on veut.

Elle se pencha vers lui et sourit, taquine, moqueuse, elle jouait sur sa pudeur et c'était amusant, voire éclatant:

Mais moi au moins j'ai pratiqué...loin si on veut.

Elle lui tira ensuite la langue, moqueuse:

J'espère que tu connais au moins l'anatomie! Car vu la couleur de tes joues, j'ai un doute!

Sa phrase la fit éclater de rire. Après tout, on apprenait ça en quatrième! Enfin même avant, mais pas si précisément. Elle fut alors poussée en arrière et rit doucement avant de se remettre normalement pour l'écouter parler:

C'est facile comme ça, mais tu n'as pas réellement fait la chose, tu es aussi une petite vierge! Car tu n'as fait qu'expérimente avec une personne qui a les mêmes choses que toi donc tu es au même niveau que moi!

Lex sourit, puis le regarda attentivement, s'approcha et grimpa sur lui pour attirer son attention, qu'il ne bouge pas, qu'il ne soit pas distrait. Elle plantait son regard dans le sien, bien droit et intense, fermement. Elle prit une voix suave et douce, comme pour raconter une histoire à un enfant.

C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes.

Elle espérait l'avoir marqué. Puis elle se retourna se mettant sur le dos à côté de lui.

"Manquerait plus que tu m'embrasses et on se retrouverait dans le film superman! Mais attention bonhomme, elle n'embrasse que les filles cette bouche."

Seul la première partit de la phrase lui vint directement aux oreilles et le fit rire, toujours planant dans les airs avec elle, mais soudainement il se rendit compte de se qu'elle venait de dire, et son cerveaux sembla se déconnecté un millième de seconde, juste le temps de lui faire perdre ses moyens et tomber sur le lit avec elle. Lucas se redressa grâce à ses mains et la regarda étonné:

"Tu es Gay?!"

Il fut étonné, il n'avait jamais réfléchit si les envies sexuelles de Lex avait été du côté féminin ou du côté masculin. Et puis pourquoi il y aurai pensé? Cela n'avait nullement d'importance, il l'appréciait et s'amusait avec, comme deux gosses à l'école maternelle, se trouvant et se trouvant sympathique, et décidant de jouer ensemble. Le jeune garçon la regarda droit dans les yeux. Alex se décala et se mit a côté de lui face à face, la tête appuyé sur sa main.

"Je m'en suis rendue compte il y a deux trois ans. La première fille qui m'a plus était une gentille fille timide de mon ancienne école, ça a duré un mois, j'avais été sa révélation, et elle la mienne si on veut. " Elle se pencha vers lui, le taquinant, l'embêtant, se moquant. Et rajouta :
"Mais moi au moins j'ai pratiqué...loin si on veut."

Elle lui tira ensuite la langue, moqueuse:

"J'espère que tu connais au moins l'anatomie! Car vu la couleur de tes joues, j'ai un doute!"

Il rit doucement et lui rétorquant qu'il était capable de différencier un pénis d'un utérus. Il y avait un minimum! Il n'était tout de même pas idiot!

"C'est facile comme ça, mais tu n'as pas réellement fait la chose, tu es aussi une petite vierge! Car tu n'as fait qu'expérimente avec une personne qui a les mêmes choses que toi donc tu es au même niveau que moi!" Dit-il en souriant, pour la taquiner.

Il vit Alex sourire et le regarder attentivement, il fronça les sourcils, se demandant a quoi elle jouait... Qu'allait-elle faire se coup-ci? Elle grimpa de nouveau sur lui, comme précédemment, mais cette fois-ci elle sembla vouloir attirer son attention... Et planta son regard dans le sien, et commença a parler.

"C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes."

Il la scruta du regard... Elle avait raconté cette histoire comme celle d'un conte de walt disney. Il avait tout écouté, si elle jouait a un jeu... Il avait marché, car il ne quitta pas ses yeux, perturbé par se qu'elle avait raconté? Ses joues avaient certainement prit un peu de couleur... Il savait très bien que l'amour entre femme et femme était pareil, il n'avait jamais dit le contraire, il voulait plaisanté, et elle semblait l'avoir remit en place. Elle se mit a côté de lui, sur le dos. Le jeune homme se penche et toucha son nez de son doigt et lui sourit simplement cette fois, pas d'éclats de rire, juste un sourire sincère.

- Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour.

Il la regarda gentiment puis tapa leurs front doucement mais comme pour relancer le jeux.

Lex retomba sous lui, lâcha un son d'étouffement, qu'il était lourd! Il devrait faire du sport! Malgré ça elle riait toujours, elle venait de lui dire son petit secret qui ne l'est pas. Elle s'était préparé à une réaction excessive, et cela avait été le cas. Elle riait toujours lorsqu'il lui demanda confirmation. C'était assez inutile de demander ça. Elle roula ensuite sur le côté dans le but de ne plus se faire écraser. Elle tint sa tête sur sa main, et le regarda, souriant et déclara:

Je m'en suis rendue compte il y a deux trois ans. La première fille qui m'a plus était une gentille fille timide de mon ancienne école, ça a duré un mois, j'avais été sa révélation, et elle la mienne si on veut.

Elle se pencha vers lui, le taquinant, l'embêtant, se moquant. Et rajouta :

Mais moi au moins j'ai pratiqué...loin si on veut.

Elle tira ensuite la langue, avant de dire à nouveau:

J'espère que tu connais au moins l'anatomie! Car vu la couleur de tes joues, j'ai un doute!

Elle l'écouta lui expliquer un cour de collégien, riant toujours. Ils avaient de ses réactions puériles, et s'en amusait. C'était si ridicule! Ses anciens professeurs lui avaient souvent reproché son manque de maturité. Elle entendit ensuite sa défense sur son innocence et parut légèrement vexée:

C'est facile comme ça, mais tu n'as pas réellement fait la chose, tu es aussi une petite vierge! Car tu n'as fait qu'expérimente avec une personne qui a les mêmes choses que toi donc tu es au même niveau que moi!

Lex le regarda droit dans les yeux, puis s'approcha doucement , elle grimpa alors avec douceur sur lui, et planta son regard dans le sien, avec fermeté et voulant le concentrer sur ce qu'elle allait dire.

C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes.

Elle avait voulu le toucher avec ses paroles, elle voulait qu'il comprenne. Elle avait été touché par ses anciennes paroles car c'est le stéréotype donné. Elle avait souvent entendu ces critiques et les avaient essuyé avec vivacité.
Elle roula alors en suite sur le côté, se remettant sur le dos.Elle souriait car il avait les joues rouges. Elle fronça le nez en sentant son nez touché, elle passa sa main sur son nez, elle détestait ça, ça la faisait éternuer. Elle voyait son sourire et leva un sourcil:

Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour.

Elle sentit le coup sur son front et le poussa contre le mur à côté du lit, et posa son front au sien, le regardant avec malice et ironie:

Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco

Elle avait dit ces deux derniers surnom sur un ton mielleux exagéré et goguenard.

Elle se releva alors et alla ramasser le coussin pour lui balancer depuis l'autre bout de la pièce et dit:

Au fait ta copine est très mignonne, c'est quoi son petit nom?

Devant son interrogation car et oui il ne lui avait pas dis qu'il était avec quelqu'un elle combla son interrogation:

Y'a deux jours vous n'avez pas été mouillés par hasard?

La jeune fille le regarda droit dans les yeux, avec attention et puissance… Il fronça les sourcils la regardant, qu’allait-elle dire ou faire? elle grimpa alors avec douceur sur lui, et planta son regard dans le sien, avec fermeté. Il plongea son regard dans le sien… Et entrouvrit la bouche, cherchant une quelconque réponse…

«C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes. »

Lucas ne perdit pas une miette de ses paroles, les avalant et les préservant comme s’il s’agissait d’un ordre a respecté. Il ne quitta pas ses yeux, pas une seconde… La concentration le prenant, et détaillant son visage. Et durant le temps qu’elle avait parlé il avait sentit ses joues prendre un peu de couleur, et il aurait voulu se frapper… Cela devenait énervant, si il pouvait se cacher sous l’oreiller pour évité cela il l’aurait fait. Elle roula sur le côté et se plaça sur le dos. Lucas se pencha et sourit simplement. Et toucha son nez du doigt, et remarqua l’air quelle prit, il rit doucement puis reprit son sérieux.

«Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour. »

Il lui donna un petit coup de front joueur et sourit amusé. Elle le poussa contre le mur, et posa son front au sien… Et le regarda avec malice:

«Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco »

Il lui fit une grimace, elle le charriait constamment. Puis elle se leva et prit le coussin qui était a l’autre bout de la pièce et lui lança. Il l’attrapa au vol et le garda dans sa main, attendant le bon moment pour lui lancer.

« Au fait ta copine est très mignonne, c'est quoi son petit nom? »

Il leva un sourcil amusé, et étonné a la fois

- Pour que tu la drague?! Rêve je te dirait rien!

Rit il en lui lançant le coussin.

«Y'a deux jours vous n'avez pas été mouillés par hasard? »

Il se stoppa et se leva précipitamment en riant.

- C’était toi! On était trempé!

Il avança vers elle et la poussa doucement sur un pouf qui était dans un coin de la chambre en rigolant.

Elle l'entendit juger son orientation comme étant moindre...Elle sentit en elle, la même blessure que les gens lui insufflaient en jugeant son choix d'orientation. C'était toujours la même chose: "c'est pas naturel" , " c'est pas normal" , "tu vas t'ennuyer"...Ils se trompent. Ils ne savent pas, ils parlent pour rien.
Elle le regarda alors dans les yeux, avec une intensité nouvelle et révélatrice. Avec une force qui lui était encore méconnue et puissante. Elle était plongé, au plus profond de son regard azur des mers perdus. Peuplé d'étoiles infinies et de paysages divins.
Lex monta doucement sur lui, posant ses mains de part et d'autre de la tête de Lucas, pour ne pas avoir à l'écraser de son poids. Elle était là, proche, au point d'entendre son coeur battre à un rythme régulier et sans un battement manquant.
Elle prit un ton doux et pourtant fort, puissant:

C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes.

Elle le regarda alors une dernière fois avant de rouler sur le côté et de se mettre sur le dos. Elle espérait l'avoir marqué, lui avoir fais comprendre. Les critiques sont si faciles comme on dit. Elle sentit alors un doigts parcourir son nez, lui arrachant une grimace crispée.

Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour.

Elle sourit à son cou de front et se releva, le plaquant au mur qui était à côté du lit et dit en posant sont front et faisant une grimace:

Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco

Elle avait exagéré le ton moqueur de ces deux dernier surnoms, jouant avec lui et de lui. Elle rit à sa grimace avant de se lever et d'attraper le coussin. Elle sourit puis lui lança rapidement. Elle sourit, attendant qu'il riposte et dit:

Au fait ta copine est très mignonne, c'est quoi son petit nom?

Elle le charriait, et adorait ça. Elle lui souriait avec moquerie et rit à sa phrase:

Pour que tu la drague?! Rêve je te dirait rien!

Elle attrapa alors le coussin et lui balança à nouveau en riant:

Y'a deux jours vous n'avez pas été mouillés par hasard?

Elle le regarda en riant et sursauta alors qu'il la poussait sur le pouf en l'entendant dire qu'ils étaient trempés. Elle riait assise sur le machin de couleur bleu turquoise, puis se leva et le regarda....Elle se dirigea lentement vers le lit, comme blessé. Cela dura un moment, et elle attendit qu'il soit derrière elle, pour se retourner et le pousser contre un mur et dire en imitant un grognement d'animal:

Tu y a cru, n'est-ce pas. C'est trop mignon...

Elle rit doucement et se recula, avant de lui tirer la langue.

Elle c’était installé sur lui, le regard intense, le transperçant du regard … Lucas n’arrivait pas à détacher ses yeux tellement elle c’était emparé de son regard, comme un fauve piègent sa proie… Il sentait sa défense perdre toute la force qu’elle avait il y a de cela deux minutes. Mais le pire, c’est qu’elle semblait être sérieuse, calme, différente de d’habitude, sa « puissance » ayant perdu de son intensité… Il sentait même son souffle sur son visage à cause du peu de distance quelle avait mit entre son visage et le sien, entre son corps et le sien, entre son esprit et le sien, pour qu’il soit attentif…

«C'est facile de dire ça aussi...Mais cela revient au même. Faire l'amour ne vient pas que de l'homme et de son machin. C'est surtout une confusion des âmes, une union. Quelque chose qui te glace le sang, la chair et les pensées au point que cela fasse une douleur en toi que tu ne voudrais jamais stopper. C'est aussi une brûlure, profonde, très profonde, au coeur. C'est ces frissons qui passent dans tout le corps lorsque tu frôles pour la première fois les lèvres tant attendues. C'est cette fusion des âmes, qui fait que tu veux mourir à cet instant pour ne jamais revenir. Cette destruction de ton TOI et de mon MOI pour ne laisser qu'un NOUS...Alors que cela soit de femme à femme, d'homme à femme, les sensations sont les mêmes. »

Elle roula après un instant, et se mit a côté, toujours … Calme? Il se pencha vers elle et lui sourit, et toucha son nez, qui lui fit faire une grimace, retenant un éternuement? Il Rit doucement puis se calma et parla a son tour:

«Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour. »

Elle sourit sûrement à son coup de front et se releva, le plaquant au mur qui était à côté du lit et dit en posant sont front et faisant une grimace hilarante:

« Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco»

Il lui fit une grimace a son tour, elle n’arrêtait pas de le cherche, de se moquer.
Puis elle commença a lui parler de Eilen et voulait savoir son nom, il se mit a rire :

«Pour que tu la drague?! Rêve je te dirait rien! »

Il lui lança le coussin.
Elle le rattrapa et lui balança à nouveau en riant:

« Y'a deux jours vous n'avez pas été mouillés par hasard? »

Il rit, étonné et la poussa sur le pouf qui était derrière elle, d’un bleu turquoise magnifique. Il lui tira la langue en s’exclamant du jour où elle les avaient arrosé.

Lucas la vit alors se lever et le regarder, comme … Vexé? Toucher? Il fronça les sourcils et la vit se mettre dos a lui… Il S’approcha doucement vers elle et arriva dans son dos. Près a murmurer quelque chose pour savoir se qu’il avait dit qui avait bien pu la mettre dans cette état mais elle fut plus rapide et le poussa contre un mur et de grogner encore comme un animal !

« Tu y a cru, n'est-ce pas. C'est trop mignon...»

Elle se recula et lui tira la langue.
Lucas se mordit la lèvre et l’attrapa avec rapidité et fougue et la porta sur son épaule comme un sac à patate et se mit à rire. Il fit comme un battement d’aile de son bras libre et décolla du sol allant dans les airs en riant, la cramponnant pour pas qu’elle tombe car là… Si elle tombait c’était par terre et elle se ferai mal. Il fit donc tout de même attention en riant avec elle. Il la remit bien face a lui, et monta jusqu’au plafond et l’y plaqua en riant comme il pouvait à cause de la gravité qui était plus un problème. Il lui tira la langue pour l’embêter.

Je n'en doute pas. Je suppose également que l'amour entre même sexe doit être plus fort et plus sincère, car parfois on doit affronté les regard, sa famille, les amis... Par amour.

Lex sourit alors au coup de front qu'il lui donna et voulut se venger. Se releva alors rapidement et le poussa contre le mur qui adjacent au lit, sur les genoux, face à face, ses mains bloquant les siennes et lui dit en souriant:

Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco.

Elle sourit et se leva alors rapidement et alla vers le coussin qu'elle ramassa. Elle le tapota un peu avant de lui lancer énergiquement. Souriante, elle se mordit la lèvre et dit d'un ton moqueur que sa copine était mignonne. Mais tout ça pour l'embêter, même si c'était sacrément vrai! Elle l'entendit dire qu'il ne lui donnerait pas son prénom car elle la draguerait, avant de lui lancer le coussin qu'elle lui rendit avec énergie, riant toujours:

Y'a deux jours vous n'avez pas été mouillés par hasard?

Elle se sentit alors propulsée contre le pouf turquoise alors qu'il affirmait sa question. Elle rit de moins en moins, une idée lui passant par la tête. Une idée sadique. Elle se leva alors, changeant d'expression. Elle faisait une moue triste, vexée, et mal. Elle partit vers le lit et remit le coussin normalement en replaçant son lit bien. Mais elle attendait surtout qu'il arrive derrière elle pour, et c'est ce qu'elle fit, se retourner et le plaquer au mur en riant:

Tu y a cru, n'est-ce pas. C'est trop mignon...

Elle riait, s'était bien moquée de lui, lui tira même la langue.
Elle cria alors qu'il la mit sur son épaule et commença à décoller. Elle riait toujours tout de même et se sentit monté jusqu'au plafond, elle se retint à lui, et son dos tapa le plafond, Lucas contre elle pour ne pas la laisser tomber. Elle rit et le regarda tirer la langue à son tour. Elle s'arrêta et le fixa, se mordant la lèvres et d'un mouvement vif, elle mis ses jambes derrières les siennes pour s'accrocher et les retourna, ses mains s'accrochant à son cou. Cette fois c'est lui qui touchait le plafond de son dos. Elle lui tira la langue:

C'est mieux comme ça! C'est dur un plafond tu sais?

Elle se moquait de lui et regarda par terre. Elle le regarda et dit d'un ton encore plus moqueur:

Dit, tu serais parfait pour jouer les bar fixe! tu devrais te convertir en outil de gym!

Elle sourit et regarda à nouveau le sol:

Je sais pas pour toi, mais si tu tentais de me faire peur c'est raté, j'ai bien fait pire!

Elle se redressa d’un coup et le poussa au mur alors qu’il avait taper leurs front, il sourit amusé et la regarda, elle bloqua ses mains dans les siennes, a genoux face a face…

«Mais qui parle d'amour? Je ne fais que combler ton inexpérience et ta pauvre ignorance. Mon pauvre chou...Pauvre coco. »

Il grognant, Alex partit et se dépêcha d’attraper le coussin qu’elle avait lancé plus tôt en pleins dans sa chambre, et qui avait failli faire tomber une lampe fragile. Il la regarda amusé et elle lui lança énergiquement. Il rit et l’attrapa avant qu’il vienne le frapper.

Elle lui demanda le nom de sa petite amie qui était Eilen, et sembla l’embêter et se moquer de lui encore une fois, elle ajouta quelle était jolie, il rit et lui lança de plein fouet l’oreiller lui disant qui si il lui disait son nom elle allait la draguer, donc il ne dirait rien!
Puis il s’approcha d’elle et la poussa doucement sur le pouf en riant taquin. Elle rit d’abord normalement, mais il remarqua quelle semblait se calmer… et puis plus rien.. Il fronça les sourcils, et la regarda se lever et aller vers son lit avec un air blessé, triste, vexé… Il pencha la tête contrarié… Et s’approcha d’elle doucement. Mais elle se tourna et rit:

«Tu y a cru, n'est-ce pas. C'est trop mignon... »

Elle le poussa contre le mur. Il rit et l’attrapa rapidement, la mettant sur son épaule et s’envola rapidement! Il la plaqua alors au plafond en riant et lui tira la langue, pour lui faire voir qu’il avait le contrôle de la situation, la bloquant dos au plafond grâce a son corps contre le sien. Mais elle rit, et mit ses jambes derrière les siennes, et les fit tourner, faisant changer leur place et lui tira la langue:

«C'est mieux comme ça! C'est dur un plafond tu sais? »

Elle se moqua de lui a nouveau et regarda le sol.

« Dit, tu serais parfait pour jouer les bar fixe! tu devrais te convertir en outil de gym! »

Il grogna et tapa doucement leur front pour la faire terre.
Elle sourit et regarda à nouveau le sol:

« Je sais pas pour toi, mais si tu tentais de me faire peur c'est raté, j'ai bien fait pire! »

Il rit et fit rapidement une roulade dans les airs la serran dans ses bras pour ne pas quelle tombe, et reprit la même place, lui contre le plafond, et elle en face de lui, la tenant de ses bras. Il la regarda malicieux et dit:

- Tu sais quand même qu’à cet instant tu es sous mon emprise?

Il rit et frôla son nez de sa joue pour l’embêter

- Et que si je te lâche tu tombe.

Il la regarda fixement et la lâcha soudainement en souriant, mais en une milliseconde il arriva a se mettre en dessous d’elle, toujours à au moins plus d’un mètre du sol et la rattrapa de son corps, et posa ses mains sur son dos pour ne pas quelle pense sur lui et tombe, toujours face a face, et il rit.

Elle changea alors complètement de comportement, une idée machiavélique lui passant par la tête. Elle était en train de rire encore quelques secondes plus tôt, et soudain changea, affichant un visage triste, vexé, blessé. Elle avait tout changé et partait vers le lit pour le ranger tranquillement. Elle attendait qu'il vienne derrière elle, et une fois ça fait, elle le poussa contre le mur en riant:

Tu y a cru, n'est-ce pas. C'est trop mignon...

Elle rit fort en se sentant mise sur l'épaule de Lucas et cria un peu en le sentant la surélever. Elle riait fort et se retrouva le dos contre le plafond, les mains de Lucas ses ses hanches pour ne pas la faire tomber. Elle riait puis le regarda, souriant avec malice et les retourna, le mettant lui dos à plafond, et elle maintenue par ses mains:

C'est mieux comme ça! C'est dur un plafond tu sais?

Elle alternait les regard entre lui et le sol et parlait en même temps:

Dit, tu serais parfait pour jouer les bar fixe! tu devrais te convertir en outil de gym! Je sais pas pour toi, mais si tu tentais de me faire peur c'est raté, j'ai bien fait pire!

Il avait tapé leur front, la faisant grogner:

Arrête ou je vais avoir des bleus!

Elle le laissa faire une roulade, riant. Elle s'amusait trop avec son pouvoir! Grr pourquoi elle l'avait pas elle!

Tu sais quand même qu’à cet instant tu es sous mon emprise?

Elle grogna au contact de son nez et se retint de lui mordre. Elle sourit et l'écouta:

Et que si je te lâche tu tombe.

Mais pendant ce millième de seconde où elle tomba, elle ne changea pas son expression souriante, et une fois qu'il fut sous elle elle lui dit d'un ton profond:

J'ai confiance...

Puis elle sauta de sur lui et atterrit sur ses deux pieds et lui dit, moqueuse:

Mais faut pas exagérer et pas indéfiniment, ça te ferait trop plaisir.

Elle lui tira ensuite la langue et lui balança le coussin.

Elle sembla avoir un air triste, blessé. Il se mordit la lèvre, et pencha la tête sur le côté, la regardant. Il y a de cela quelque secondes elle riait aux éclats, pourquoi tout a coup elle semblait si... Triste, qu'avait-il dit? Ou fait? Il n'en n'avait pas la moindre idée, pourtant elle ne semblait pas aller bien... Il s'approcha alors d'elle, de son dos, et leva la main pour la poser sur son épaule et lui demander se qu'il avait fait pour qu'elle réagisse ainsi. Mais elle fut plus rapide, et le poussa contre le mur en riant comme toujours, et lui tirant la langue, lui montrant qu'elle avait gagner. Il lui fit une grimace en grognant, et la porta rapidement sur son épaule et s'envola! Il la remis face a lui et la plaqua au plafond en riant. Il la tenait prisonnière de son emprise et lui tira la langue amusé. Mais elle arriva a mêler leur jambes comme pour se cramponner a lui et tourna, le mettant au plafond en riant toujours, ses cheveux tombant dans le vide.

"C'est mieux comme ça! C'est dur un plafond tu sais?"

Il rit et grogna en même temps, elle arrivait toujours a trouver quelque chose pour reprendre le dessus! C'était pas possible...
Alex alterna les regards entre lui et le sol et parla en même temps:

"Dit, tu serais parfait pour jouer les bar fixe! tu devrais te convertir en outil de gym! Je sais pas pour toi, mais si tu tentais de me faire peur c'est raté, j'ai bien fait pire!"

Il grogna a nouveau face a sa moquerie, et tapa doucement leurs front en riant.

"Arrête ou je vais avoir des bleus!" Il fit une roulade en la serrant pour pas qu'elle tombe, puis se stoppa et la fixa:

"Tu sais quand même qu’à cet instant tu es sous mon emprise?" Déclare t-il amusé, en touchant son nez, son air le fit rire a nouveau puis il déclara:

"Et que si je te lâche tu tombe."
Se qu'il fit, il la laissa tomber un instant, remarquant son sourire toujours visible, et la rattrapa grâce a son corps, à plusieurs mètre du sol.

Mais elle le regarda alors dans les yeux, et dit sincèrement, profondément :

"J'ai confiance..."

Puis elle sauta de sur lui et atterrit sur ses deux pieds et lui dit avec un air moqueuse:

"Mais faut pas exagérer et pas indéfiniment, ça te ferait trop plaisir."

Elle lui tira ensuite la langue et lui balança le coussin qu'il rattrapa toujours dans les airs et lui relança en touchant le sol de ses pieds.

-Tu es une sauvage! Rit il en lui faisant une grimace après lui avoir lancé le coussin.

Nous étions contre le plafond. Enfin surtout lui! J'avais réussi à nous retourner, le collant au plafond. Mes cheveux tombaient, certains barraient mon visage et mes yeux, rendant ma vue partielle. Elle regarda le sol, et lui, le sol puis lui, le sol et à nouveau lui. Je tournais mon regard dans un sens puis dans l'autre puis lui dis avec malice:

Dit, tu serais parfait pour jouer les bar fixe! tu devrais te convertir en outil de gym! Je sais pas pour toi, mais si tu tentais de me faire peur c'est raté, j'ai bien fait pire!

Mon côté malicieux, encore et toujours! Je ne pouvais pas me contrôler c'était plus fort que moi! En sentant son front taper le mieux, je dis en riant:

Arrête ou je vais avoir des bleus!

Il me menaça quelque peu de me laisser tomber, ce qu'il fit! Mais bien vite rattrapée. J'étais sur lui, poitrine contre torse, jambes emmêlées. Je lui souris, taquine et dis d'un ton doux:

J'ai confiance...

Mais ceci cacha une ruse, et je sautai immédiatement à terre, me rattrapant particulièrement bien avant de me relever pour lui lancer le coussin:

Mais faut pas exagérer et pas indéfiniment, ça te ferait trop plaisir.

Je lui tirai la langue en même temps, alors que Lucas réceptionnait le coussin, qui leur avait servi de balle de fusil depuis qu'ils étaient entrés. Elle reçut le coussin en le regardant se poser à terre:

Tu es une sauvage!

Je posai alors doucement le coussin...Puis devins invisible. Le jeu ne faisait que commencer après tout? Je marchais lentement et sans bruit. Ni mes chaussette, ni la moquette, ni le parquet en dessous ne faisait de bruit. Comme s'ils étaient tous avec moi pour que je continue mon jeu! J'arrivai alors derrière lui....avant de le pousser sur le lit puis de partir dans la salle de bain... J'arrivai dans la douche, m'y cachai...J'attendis qu'il arrive..avant d'allumer le robinet pour l'arroser d'eau chaude. J'avais pris garde à ce qu'elle ne soit pas brûlante ou glacée. J'avais enfin trouvé un camarade de jeu PRESQUE digne de ce nom, c'est pas pour le décourager ou le blesser déjà!

Je la menaça de la laisser tombé, la tenant bien dans mes bras, pour ne pas qu'elle se face mal, et regarda son visage voilé de mèche de cheveux, et sourit doucement et d'un coup la laissa tomber, mais je me glissa en dessous d'elle pour la rattraper, et l'entendit rire à mon oreille ce qui me fit rire à mon tour. Son buste, sa poitrine, ses jambes contre mon corps la soutenant du mieux que je pouvais.

"J'ai confiance... »

Son ton avait été doux, mais à la fois taquin. Et elle sauta, atterrissant sur les pieds plutôt habillement, et lui lança un coussin.

« Mais faut pas exagérer et pas indéfiniment, ça te ferait trop plaisir. »

Je ris et réceptionna le coussin et lui renvoya plus fort. Elle me tira la langue en même temps en me regardant me poser par terre, redescendre sur terre...
Elle posa doucement le coussin par terre, et disparu encore ! Elle s'amusait a disparaître et réapparaitre a chaque fois! Je grogna en riant et tenta de deviner où elle avait bien pu aller. Je fis les cents pas, un peu dans toute la chambre, la cherchant dans chaque recoin, pour trouver sa cachette, savoir où elle avait bien pu aller, où elle pouvait bien être

*Mais où es-tu?*

Je rentra dans la salle de bain, en poussant doucement la porte, et fit quelque pas, sur mes gardes. Et me prit soudainement de l'eau au visage, et je lâcha un cri de surprise, en me reculant, et me débattit, les cheveux trempé, et reprit mon souffle, me penchant les mains sur les genoux, et secoua les cheveux en grognant, et la plaqua soudainement au mur, et lui arracha le pommeau et l'arrosa toujours invisible. Qu'est ce que je pouvait m'amuser ici en sa présence, de vrai gamins, et pourtant j'adore ça, c'était différent et surtout, relaxant!

» Just a Game, Don't Judge Me [Lulu et Lex]