Clash and Splash [Eilen&Lucas]

Je me love dans tes bras, et là je n'aimerai que toi, a la longue. Je t'aime et dans tes bras toi si tu ne loves que moi. On prolonge.
Ton manège m'enchantait, tournoyait.
Autour du sentiment de s'y noyer. Et la Terre s'est mise à valser, sûr que le fond des cendriers. N'est pas net.
Quand toi tu m'appelles au secours, ma chère folie et mon amour, ma planète.
Et tu veux du silence. En veux-tu ? Des années-lumière blanches par-dessus.
Il y a le bruissement de tes ailes. Et les grands souffles qui nous appellent. A la longue.
Toujours des fleuves qui me remontent. Et des vomissures qui me comptent parmi elles. L'or c'est sûr n'est pas loin, cherche biens des sutures et des points
N'y font rien.
D'où vient cette créature en robe longue, et cette fusée encore blonde qui se dresse. Elle est fière et droite comme un "i" qui peut deviner, comment lui dire qu'elle cesse.
Mon amour est si grand, et pourtant, elle semble m’ignorer…

Alors que la lumière vient doucement me chatouiller les yeux de son rayon lumineux. Je m’éveil, et m’étend dans toute la largeur de mon lit. Mais alors que je me tourne pour me cacher de ma lumière.
Je sursaute, et fit un bond hors du lit, Enfile se qui me tombe sous la main, et sort a tout allure du dortoir, saluant d’un signe de main quelque élèves et amis. Je saute quatre à quatre les marches, et continu ma course jusqu’à phare. J’avais totalement oublié la punition donné par la directrice la veille…
Et Eilen devait très certainement y être déjà…
J’arrive au phare et entre, mon regard se perd dans les escaliers immenses, et je les entames en continuant de courir.
Je franchis la dernière marche essoufflé comme un coureur de marathon, et m’accroche a la rambarde, et lève le doigt…

- Je… Je suis là… J’ai raté mon réveil excuse moi.

Je respire un grand coup, puis me redresse pour lui sourire.

Elle ne répondit pas à mes paroles, et sembla même m’ignorer. Savez-vous se qui est pire que la haine? L’ignorance… Car la haine est une preuve d’appartenance, la personne sais que vous existez, et même ressent un quelconque sentiment en vers vous. Alors que l’ignorance, la personne ne fait même pas attention a vous, vous ignore, ne vous regarde pas, ne vous parle pas… Et là, c’est-ce quelle fait, elle m’ignore, et je sent mon cœur se déchirer, se détruire petit bout par petit bout… Sombrant avec lui, je laisse mon regard la détailler de dos. Et je baissa la tête, qu’a t-elle?
Je m’approche, et prend un pinceau, et le trempe dans la peinture, et l’aide a peindre son côté de mur…

- Ça va toi…?

Demandais-je comme sur mes gardes, faisant attention a chacun de mes mots, pour éviter de, de quoi? De la blesser? Mais pour quelle raison? L’ai-je blessé au moins?
Je n’en n’ai pas la moindre idée, tout se que je sais, c’est quelle m’ignore…

Le ton de sa voix était si faible, si éteinte? Pourquoi ne voulait-elle pas le regarder, lui parler, lui dire la vérité, il était sur quelle n’allait pas si bien que ça, sinon pourquoi lui aurait-elle dit son « - Bien. Et toi ?» de cette façon si triste, si mal?…
Il tourna la tête, et baissa son pinceau, puis s’approcha, s’approcha d’elle, de celle qu’il aime plus que tout au monde…
Celle a qui il avait donné son cœur, et qui semblait l’avoir jeté dans l’océan, contre les falaises, en bat de ce phare… Puis posa sa main sur sa joue, et lui tourna doucement, délicatement la tête, en la fixant droit dans les yeux, il se sentait plongé dans cette haut plus bas… Rien qu’aux croisement de son regard… Il caressa sa joue de son pouce et murmura

- Regarde moi… S’il te plais, pourquoi tu me fuit, je ne suis pas aveugle, je vois bien que tu es triste, parle moi, je me sent mal de te sentir me fuir ainsi…

Il avala sa salive avec difficulté, ses mains tremblante a l’idée de la perdre…

Alors que sa main vint se poser sur sa joue avec la douceur du monde, et lui adressa ses mots pour tenter de savoir pourquoi elle semblait l’ignorer ainsi, elle retira sa main un grand coup, le faisant sursauter, et il vit son regard se poser sur lui, un regard si dure, si douloureux, il perdit tout moyen a cet instant. Il n’était plus rien a ses yeux, il le savait, et tout tournait autour de lui, et se n’était rien vu se qui allait arriver juste après…

«- Tu me le demande ?! TU ME LE DEMANDE ?! Il n'y a RIEN ! RIEN !! »

Il sursauta une nouvelle fois face a ces cris qu’elle semblait également lui adresser, mais pourquoi? Il l’aimait tellement, et elle semblait ne rien ressentir, ne rien éprouver à son égare, n’y amitié… Ni amour, juste haine et ignorance.
Lucas ne pouvait pas l’écouter, c’était bien trop douloureux d’écouter ces cris, il la fixa, droit dans les yeux, anéantit pourquoi faisait telle cela? Il l’aimait de toute son âme, et elle, elle lui hurlait dessus sans qu’il ne sache le pourquoi du comment.

- Mais…. P… Pourquoi tu cris, je… Je veux juste comprendre Eilen.

Dit-il tremblant, son cœur semblant se défaire, ou pire, être enfoncé par une cuillère a café, que l’on remue comme si nous faisions un gâteau, battant la mixture que nous préparons…

Son cœur brûlait sous son regard, ses yeux qui s’embuait… Il pouvait le voir, et même si il devenait non-voyant, il aurait pu le sentir, il l’aimait tellement, que son cœur pouvait voir tout en elle, il l’aimait tellement qu’il serait près a se jeter de ce phare si elle lui demandait… Il l’aimait tellement, qu’il donnerai sa vie pour elle, qu’il resterai loin d’elle si elle le désirai, même si son cœur ne pourrait survivre face a son ignorance quotidienne. Non, il ne survivrai pas si elle était loin de lui. Il a besoin de la voir, de la sentir là, présente… Car il l’aime comme personne ne peux aimer, son âme lui appartient tout comme son cœur.


« Il n'y a rien à comprendre, ou plutôt c'est moi qui ait compris... Laisse moi Lucas si je ne suis rien pour toi ! »


Il la regarde alors interrogé, se retient-elle de pleurer? En tout cas on pourrait le croire, on peut apercevoir mes mains trembler, et ses yeux se fermer …

Lucas a mal, si mal, il sent sa gorge se serrer. Et doucement s’approche d’elle, pour poser sa main dans son dos avec délicatesse, et lui caresser… Avec toute la douceur du monde, ou plutôt d’une personne aimé.

- Pourquoi dis-tu toutes ses choses? Penses-tu vraiment ça?

La peine amplifies a cet instant, il s’écarte, et se tourne, tentant de contenir ses larmes qui ne cesse de vouloir tenter de faire leurs apparition, mais non, pas ici, pas devant elle, il ne voulait pas…
Lucas se tourne alors rapidement, et parle d’une voix tremblante:

- Tu crois que tu n’es rien pour moi?! C’est ça?! Tu crois que je m’en fou totalement de toi? De qui tu es?! Et bien sache que oui! Oui je m’en fou de ta vie, je m’en fou de se qu’il a bien pu arriver avant que je n’arrive ici, je m’en fou si tu as porté un appareil dentaire ou si tu as eu un chien! Je m’en fou, car la seul chose que je sais s’est la couleur de tes yeux, chaque éclats qui y brille je les connaît par cœur, chaque partit de ton visage je le connaît a un tel point que je serai capable de le dessiner les yeux fermé! Je suis capable de deviner ton odeur parmi dix autres filles de cette école!

Ses poings se serre de douleur, il a mal, mal quelle puisse penser une chose pareil!

Pourquoi tout devait toujours finir ainsi? Pourquoi tout ne pouvait-il pas être simple, pourquoi ne pouvaient-ils pas s’aimer sans barrières pour tout fausser… Oh oui il l’aimait, et pourtant elle ne semblait pas le comprendre, il lui avait dit se qu’il ressentait, il lui avait dit a quelle point elle comptait, enfin lui avait fait comprendre en lui disant toutes ses choses, qu’il la connaissait en un regard, qu’il pouvait la décrire juste a son parfum si enivrant, a ses trais qu’il pouvait redessiner même dans le noir totale …
Il avait envi de lui hurler son amour, envi de lui crier de tout son âme, de toute ses forces qu’il l’aimait! Même il n’était même pas sur qu’elle l’écouterai, car a cet instant, elle semblait de rien vouloir entendre… Ne pas vouloir y croire? Et lui qui était persuadé qu’elle ne ressentait rien… A ce moment, elle semblait ressentir énormément de chose pour lui, mais au contraire, elle ne voulait pas voir se que lui ressentait..

«Arrête... Laisse moi... Ce n'est pas vrai !»

Il s’arrêta, et la fixa tristement pourquoi était-ce si dure?

«Dis ce que tu veux, je ne suis pas aveugle... Je l'ai vu... Tu aime Kendra n'est-ce pas ?! Alors... Laisse moi... »

Il sursauta et se recula effrayé… Pourquoi dit-elle ça?! Pensait-elle qu’il l’aimait? Mais était-elle donc vraiment aveugle, Lucas l’aimait elle, et non pas Kendra, Kendra était une fille extraordinaire, et très charmante bien entendu, et il ne va pas se voiler la face, elle était aussi très jolie. Mais il n’était pas tombé amoureux d’elle, il était tombé amoureux d’Eilen, et il la trouvait magnifique, c’était elle, la seul, l’unique avec qui il voulait finir sa vie, la seul avec qui il c’était prit a rêver de lui demander sa main. Il était jeune et pourtant, l’amour, n’avait pas d’âge…
Lucas baissa la tête, mais l’aperçu en train de partir… NON! NON! Il ne pouvait pas! Il ne pouvait pas la laisser partir, il l’aimait!

- Je t’aime…

Chuchote t-il en la fixant les yeux brillant…

- Je t’aime mon ange, je t’aime comme personne n’a jamais aimé une personne, je t’aime, ne par pas!

Il se précipite vers elle, et attrape son bras pour la retenir.

Il n’en pouvait plus, c’était trop fort, tout ses sentiments se battaient en duel en son cœur, tous se chevauchait, pour pouvoir sortir de ses lèvres, et lui hurler son amour! Car il l’aimait! Il l’aimait comme un fou… toute son âme la réclamait, tout son corps, tout son cœur. Et elle semblait elle aussi ressentir quelque chose, et pourtant le chassait, le repoussait, comme un vulgaire déchet … Est-ce cela? Est-il rien pour elle? Sa tête se baisse alors
tristement, le cœur s’accélérant de douleur, et ma bouche s’entre ouvre doucement, alors que ses paupières devienne lourde a cause des larmes qu’il retient. Il ne laissera rien couler! Pas devant elle. Seul, peut être…

Et ses mots sortent doucement de sa bouche en murmurant un je t’aime… Il relava ses yeux vers elle, et la vit frémir, mais est-ce un frémissement de dégoût? Il ne c’est pas, mais se lance, en la retenant, et en lui disant tout… «Je t’aime mon ange, je t’aime comme personne n’a jamais aimé une personne, je t’aime, ne par pas!» Mais rien, elle semble avoir plus mal qu’autre chose, et son cœur se déchire. Ses mains tremble en voyant son visage, et … ses larmes. Non, non il ne veux pas voir cette marque de peine sur son visage, non, c’est la pire chose qu’il pouvait voir. Cette peine, cette douleur en elle! C ‘est atroce!

Et elle se retire, se débattant pour qu’il la relâche, tel un oiseau dans des mains d’un chasseur, remuant les ailes pour que se tueur le relâche, et qu’il sauve sa peau, est-ce cela? Est-il un chasseur qui tente de garder cet ange avec lui alors qu’elle ne le désir pas?

« Lâche moi Lucas ! Laisse moi maintenant ! Arrête ! LACHE MOI »

Elle cri, elle lui hurle dessus lui demandant de la relâcher, il a mal, elle ne le crois pas, la douleur est une chose atroce de savoir que la personne aimé ne vous crois pas. Elle veux une preuve? Très bien…
Il l’attire a lui, son regard brillant pour elle, et son cœur battant, ses poumons inspirant l’air pour elle, et l’expirant pour la même personne… Il pose sa main sur sa hanche, et l’autre sur son cou avec douceur, puis remontant a sa joue tendrement. Pour enfin, capturer ses lèvres pour la première… Ce goût qu’il avait tant rêvé de déguster un jour, est enfin arrivé, mais est-ce vraiment ainsi qu’il voulait que cela se passe? Non, mais après tout peu importe le moment, temps que ses lèvres se pose sur les siennes, pour lui prouver son amour… Comment va-t-elle réagir? Voilà la question qui le tourmente a cet instant qu’il voudrait éternité.

Ces lèvre, comment les décrirent?
Ce parfum si exquis qu’il a tant rêvé, cet instant qu’il n’imaginait réel que dans ses rêves les plus fort… Ce mélange de sucré salé qui se mêle a son propre parfum.
Chaque femmes a une odeur différentes, bien particulière a chacune, définit comme son identité. Et chacun a la sienne, et quand deux personnes mêles leurs parfums, cela devient quelque chose d’excellent, de magique, d’éternelle…
Et Lucas aimait cette odeur qui se dégageait de leur deux lèvres entremêlées… Cela était hypnotisant, envoûtant…

Mais il la sentait se débattre, tenter de le repousser, et ceci était affreux, il lui prouvait son amour, voulait lui montrer se qu’il ressentait, et elle, le repoussait comme un vulgaire objet, comme une vulgaire peluche, marionnette qu’il était. Son cœur battait, et pourtant ses mains tremblaient ainsi que tout son corps, sous le poids de l’impuissance, il sentait l’humidité s’emparer de ses yeux et pourtant il préféra les garder fermer. Mais il se sentit reculer avec force, mais tenta de la prendre dans ses bras en vint, elle l’avait reculé grâce a son esprit… Elle ne le voulait pas, ne le désirait pas, il avait beau faire un pas vers elle, elle en faisait cinq en arrière…
Une larme glissa le long de sa joue, mais sa main vint s’écraser sur sa joue, et il vit son regard froid, méchant, énervé, dégoûté … Par son baisé? Sûrement.

Il entre ouvrit la bouche et la fixa, avec douleur, posant sa main sur sa joue enflammé… Il murmura son nom, et ferma les yeux, ne voulant pas voir son regard dure.
Sa joue lui lançait, elle l’avait frappé… Mais la douleur était encore forte que celle que lui hurlait son cœur, cette douleur intérieur qui le dévorait. Elle l’avait repoussé… Voila pourquoi il avait mal…

Il tenta une dernière chose, et s’approcha, tremblant, une larme coulant sur sa joue, il l’aimait, plus que son âme, plus que son esprit pouvait le persuader… Et posa sa main sur son bras timidement:

- Pourquoi fais-tu cela?

Le ciel se dévoile sous ces quelque nuages gris qui cachait il y a peu ce soleil que l’on appel boule d’orée. Deux pas régulier faisaient craquer les feuilles morte jaune et orangé au sol qui avait annoncé l’arrivé de l’automne, et le souffle plutôt frai du vent faisait frissonner sa peau que se crispait sous sa simple chemise. Il aurait dut prendre une veste, mais têtu comme il pouvait l’être il s’était persuadé qu’il ne faisait pas froid a l’extérieur, et se dépêcha donc d’entrer vers le phare pour vérifier que les deux élèves que Lizzy avait collé faisaient bien le travail exigé, elle semblait le prendre pour son secrétaire d’ailleurs! Sourit-il a cette pensée. Se n’est pas parce qu’elle le connaît depuis enfant qu’elle doit lui refiler toute les corvées! Il secoua la tête amusé, et garda en mémoire de lui demander une augmentation pour ce travail bonus qu’il offre.
Benjamin traversait le parc a pied, voulant montrer l’exemple aux élèves de ne pas utiliser leurs don sans avoir de « réel » excuses valable. Cela dit il ne devait pas ce mentir, ceci était très difficile, lui, habitué a se téléporter comme bon lui semble du jour et de la nuit pour une excuse peu valable qu’est la « feignantise » de lever le petit doigt. Mais il aperçu au loin la jeune fille arriver a toute allure et toute … Chamboulé? Que c’était-il passé? Alors quelle arrivait a son niveau il tenta en vint de l’accoster, reconnaissant la jeune Eilen, élève qu’il avait en cours. Mais celle-ci ne sembla même pas l’entendre, traçant son chemin aussi loin quelle pouvait…

- Oula…

Laissa-t-il échapper en fixant la jeune fille dans une rage folle.
*Oh.. les filles… *

Dit-il en soupirant et continuant son chemin, elle l’aurait envoyé bouler si il avait tenté une quelconque approche…

Le professeur continua son chemin en direction du phare, ne pensant pas une seul seconde quelle pouvait être un des deux élèves a être collé, et qu’il aurait une raison de la retenir, et puis en même temps aurait-il eu vraiment envi de la retenir? Elle l’aurait balancé du haut de la falaise grâce a la simple pensé de son esprit!

Ben monta les marches une par une et s’arrêta a la moitié, essoufflé, et décida qu’il serai temps de se télé porter en haut. Aussitôt dit, aussitôt fait, il arriva en haut, et rouvrit les yeux, mais sursauta horrifier de voir l’état dans le quel était le phare, il appuya sa main au mur mais la retira immédiatement sachant que tout cela n’était pas sec, et grimaça, tentant d’essuyer sa main quelque par.

- Non mais je rêve là! Que s’est-il passé ici! Je croyais que vous étiez chargé de repeindre le phare en blanc et non pas en multicolores pardi!

Il leva les yeux, et aperçu une personne, juste une, Lucas semblait-il, caché sous une couche de peinture rouge et blanche. Et il paraissait ailleurs… Perdu, triste? Mal, s’était certain, mais pour quelle raison?
Benjamin se radoucit:

- Hum… Bonjour Lucas, Ça n’a pas l’air d’aller… Que se passe t-il? Et où est la seconde personne collé?

Le garçon ne semblait pas réagir, l’esprit ailleurs, mais où?

La haine avait prit ses yeux, elle semblait posséder d’une colère forte, qui la rongeait depuis la veille, il en était persuader. Pourquoi n’avait-elle pas dit tout cela la veuille? Ils en auraient parlé calmement, et il lui aurait tout expliqué, lui disant qu’il ne ressentait rien pour son amie, mais qu’au contraire son cœur battait pour elle. Il lui aurait expliqué que chaque souffle qu’il inspirait et expirait était pour elle, et qu’il aurait aimé tout faire avec elle a ses côté. Mais maintenant c’est trop tard, elle le haït, le repousse, … Le frappe d’une gifle douloureuse, plus intérieur que extérieur… Quelque larmes s’échappant de ses yeux qu’il a tenté de cacher en vint, a quoi bon caché l’inévitable?

Elle hurle de colère, chaque mots le frappant de plein fouet comme une vague gigantesque. Et ne pouvant nager a contre sens, il subit, et nage dans le sens qui l’entraîne a la fin…

«- POURQUOI ?! Pourquoi je fais cela ?! Tu te moque de moi ?!»

Elle se débat, arrivant a retirer son bras de sa main qui la tenant avec douceur, et espérance…

«- Et lâche moi ! Laisse moi Lucas, j'ai eu assez mal ! LAISSE MOI PARTIR ! »

Tout les pots de peinture se trouvant dans la pièce explose et finit leur chemin sur Lucas… Qui se trouve littéralement imprégné de multiple couleurs. Mais pourtant cette marque sur sa joue semble résister a tout cela, c’était trop, beaucoup trop. Elle lui avait tant subir, alors que son cœur était a elle… Et a présent, était en millions de petits morceau dispersé un peu partout, il était sans vie, rien ne pouvait le détruire plus qu’il ne l’était…
Le jeune homme resta un moment sans conscience, debout, e fixé la place ou elle se trouvait il y a peu. Elle est partit, et ne reviendra sûrement pas vers lui. Pourquoi? Toute ses choses qu’elle pensait étaient fausses, elle le repoussait, le haïssait pour des raisons inexactes.

Son sang ne fit qu’un tour… La colère pénétrant son corps, il fit volte face, et frappa de plein fouet le mur de son poing serré! Les larmes dévalant son visage coloré par la peinture reçu, pour finir leurs course sur le sol plein de peinture également.
Il lâcha un grognement de douleur, et laissa le sang couler… Il n’entendit même pas les paroles du professeur se trouvant a quelque pas, n’y quand celui si se radoucit…

Il revint sur terre, et se tourna, l’apercevant…

« - Pardon du dérangement … Je vais tout ranger professeur Barry… »

Le professeur le regarda différemment … se rendant compte que quelque chose n’allait pas?

«Que se passe t-il? Et où est la seconde personne collé? »

Lucas se tourna et tenta d’essuyer la peinture

« - Elle est partit…Il y a … eu un léger contre temps »

Lucas cacha sa main grimaçant de douleur

Le jeune homme sembla déboussolé, gêné? Que c’était-il donc passé ici?
Pourquoi pouvait-on distingué comme une coulé de larmes sur sa joue, et surtout, pourquoi était-ce autant le foutoir ici!

Ben s’approcha du jeune homme et le regarda dans les yeux. Il naissait quelque peu Lucas, était son professeur il s’avait comment le jeune garçon était, et celui-ci était de nature joyeuse, farceuse et non comme cet personne qui semblait être Lucas.
Après s’être excusé du désordre, il répondit a sa deuxième question:

«- Elle est partit…Il y a … eu un léger contre temps »

Il fronça les sourcils interrogé, et regarda l’état de la pièce

« Je ne vois pas cela comme un petit contre temps moi, donc je répète ma question Lucas… Que s’est-il passé ici...? Regarde l’état de la pièce, il y a de la peinture un peu partout. Vous deviez être deux ici, et il n’y a que toi. J’ai vu passé Eilen dans une colère monstre, je suppose donc que s’était elle qui devait être avec toi pour cette colle. Donc pourquoi est-elle partit? Et surtout pourquoi est-elle partit autant en rogne? »

Il se tut enfin et fixa le jeune homme pour avoir une explication… Benjamin se doutait bien qu’il y avait un histoire de cœur dans tout cela, qu’elle raison serait-elle sinon? Et il avait bien remarqué le rapprochement qu’il y avait eu entre ses deux adolescent depuis quelque jours. Mais il y avait du avoir quelque chose de bien plus « froid » pour qu’ils soit dans un état aussi … EXTREME!

A peine avait-il répondu que son professeur entama une longue phrase… Il l’écouta, toujours en lui tournant le dos et nettoyant la peinture que Eilen avait jeté sur lui…

«Je ne vois pas cela comme un petit contre temps moi, donc je répète ma question Lucas… Que s’est-il passé ici...? Regarde l’état de la pièce, il y a de la peinture un peu partout. Vous deviez être deux ici, et il n’y a que toi. J’ai vu passé Eilen dans une colère monstre, je suppose donc que s’était elle qui devait être avec toi pour cette colle. Donc pourquoi est-elle partit? Et surtout pourquoi est-elle partit autant en rogne? »

Le jeune garçon baissa la tête peiné et passa sa manche sur son visage pour retirer la peinture qui était sur son visage, et se tourna d’un air perdu vers le professeur…
Et entama a son tour une grande phrase, pour tout expliqué. Après tout, que faire d’autre? Il n’a plus rien a perdre…

« Elle m'a giflé… Et m'a lancé de la peinture comme si je n’étais personne, comme si rien ne comptait… »

Il garda le regard fixé au sol toujours tourné vers le professeur Barry… Et ferma un instant les yeux, repensant a la gifle qu’elle lui avait mit. Et continua:

« Elle a cru qu’elle n’était rien! Elle a cru que c’était Kendra! Mais c’est faux! C’est pas Kendra c’est elle! Et tout ce qu’elle a réussi a faire c’est tout cassé, tout détruire en faisant ça! »

Il montra la pièce de sa main blessé, la rage s’emparant de lui. Lucas parlait fort, en colère contre tout se qui c’était passé.

« Mais je l’aime! Je lui ai dit, je l’ai même embrassé! Mais elle ma giflé, ma lancé tout la peinture dessus et est partit en colère… Je n’aime pas Kendra, je l’aime elle…Mais elle ne me crois pas, elle dit que je mens… »

Il regarda monsieur Barry, et cacha sa main…

« Je fais quoi moi maintenant… Je lui ai tout dit, mais elle en a rien a faire… Et puis après tout moi aussi, cela ne sert a rien, elle me haït… A quoi bon, c’est trop tard. »

Il pencha la tête, voyant Lucas commencer a réagir a ses mots. Le garçon se tourna vers lui, le visage fixe vers le sol, et se dévoila…

«Elle m'a giflé… Et m'a lancé de la peinture comme si je n’étais personne, comme si rien ne comptait… »

Ben fronça les sourcils, Eilen l’avait giflé? Mais pourquoi? Que c’était-il passé pour qu’elle le gifle? La jeune fille avait un caractère bien trempé, et savait bien se défendre, mais il ne voyait pas vraiment Lucas faire quoi que se soit qui donne a Eilen une raison de se défendre!
Et a ce moment c’était plus lui qui paraissait anéanti que elle! Elle semblait dans une colère noir quand il lavait croisé! Mais Lucas continua:

«Elle a cru qu’elle n’était rien! Elle a cru que c’était Kendra! Mais c’est faux! C’est pas Kendra c’est elle! Et tout ce qu’elle a réussi a faire c’est tout cassé, tout détruire en faisant ça! »

Il comprit, tout s’éclaircissait. Et c’était bien se qu’il pensait, Lucas et Eilen était plus qu’ami, ou su moins, ils ressentaient bien plus qu’une simple amitié… A ces pensés, il repensa a Lizzy, et a se qui c’était passé a la source, et durant le cour… Il se força a chasser toute ces pensé et revient au jeune homme. Lucas aimait Eilen, mais Eilen pensait donc qu’il aimait la jeune Kendra, et vu l’état de colère dans le quelle est était, elle devait ressentir énormément de chose pour se jeune garçon… Et puis quelle idée de l’embrasser dans un moment pareil aussi! Ah les jeunes ils ne sont pas assez réfléchit!

«Mais je l’aime! Je lui ai dit, je l’ai même embrassé! Mais elle ma giflé, ma lancé tout la peinture dessus et est partit en colère… Je n’aime pas Kendra, je l’aime elle…Mais elle ne me crois pas, elle dit que je mens… »

Il sourit doucement, le regardant

« Oh tu sais… Quand une femme a une idée derrière la tête c’est bien dure de lui en faire démordre! »

La garçon semblait désemparé… Lui demandant se qu’il pouvait faire a présent… Mais il semblait a la fois découragé, et ne voulait plus rien faire… Ben le fit s’asseoir par terre, et se mit a coté de lui pour lui expliqué…

« Tu es jeune, tu ne sais pas y faire, déjà, je suppose que puisqu’elle a repoussé ton baisé par une gifle c’est que tu as sûrement mal choisit ton moment, car je suis persuader qu’elle ressent les mêmes sentiments pour toi. Trouve le bon moment! Un baisé c’est … Un moment qui est a tout les deux, autant la femme que l’homme, ou même homme homme, tout dépend de tes attirances! Dit-il souriant.
L’important c’est de la mettre en condition, parle lui doucement, la regardant dans les yeux, et rapproche toi doucement, pour voir si elle se recule ou non, car elles ont beau dire quelles ne savaient pas que tu allais les embrasser, elles le sentent! Et si elles ne bougent pas, c’est qu’elle est d’accord. C’est un mode d’emplois, et chaque geste son a apprendre! C’est comme imagine, ta petite amie arrive avec un nouveau chapeau atrocement laid! Tu vas pas lui dire « ce chapeau te fait ressembler a un lampadaire » non, tu vas lui dire « Il est magnifique sur toi mon ange » sinon tu te prend des coup de balais dans le derrière! Les compliments elles adore! Tu dois toujours en faire, même si tu trouve que rien a changé sur elles, tu la complimente! »

Il lui sourit amusé, lui confiant se secret.

Après avoir découragement expliqué par des phrases plus ou moins accentués, son problème au professeur, il vit celui-ci s’asseoir a ses côtés, et le regarder presque étonné, mais a la fois avec un soupçon de compréhension …

«Tu es jeune, tu ne sais pas y faire, déjà, je suppose que puisqu’elle a repoussé ton baisé par une gifle c’est que tu as sûrement mal choisit ton moment, car je suis persuader qu’elle ressent les mêmes sentiments pour toi. »

Lucas baissa la tête, apparemment le professeur Barry avait tout saisi… Et avait déduit une chose a propos de Eilen qui l’étonna tout d’abord, mais expliquait beaucoup de chose… L’aimait-elle? Ressentait-elle autant de chose que lui en ressentait pour elle? Son battait-il aussi fort et vite que le sien quand ils étaient proche? Ou sent-elle tout ces papillons qui semble fabriquer un panier en osier dans son ventre?

Il était perplexe et regarda le professeur l’entendant continuer

« Trouve le bon moment! Un baisé c’est … Un moment qui est a tout les deux, autant la femme que l’homme, ou même homme homme, tout dépend de tes attirances! »

Le garçon laissa un petit sourire se dessiner sur ses lèvres… et passa sa main dans sa nuque. Comment trouver le bon moment quand elle pense qu’il aime sa meilleure amie?

«L’important c’est de la mettre en condition, parle lui doucement, la regardant dans les yeux, et rapproche toi doucement, pour voir si elle se recule ou non, car elles ont beau dire quelles ne savaient pas que tu allais les embrasser, elles le sentent! Et si elles ne bougent pas, c’est qu’elle est d’accord. C’est un mode d’emplois, et chaque geste son a apprendre »

A cet instant le moment dans le parc, le moment de l’arbre lui vint a l’esprit, CE moment paraissait le moment où il aurait dus tenter quelque chose… Ou même dans sa chambre, cet instant où ils étaient si proche paraissait maintenant évident, c’était là qu’il aurait dut l’embrasser, mais il n’a rien fait, par peur…

« C’est comme imagine, ta petite amie arrive avec un nouveau chapeau atrocement laid! Tu vas pas lui dire « ce chapeau te fait ressembler a un lampadaire » non, tu vas lui dire « Il est magnifique sur toi mon ange » sinon tu te prend des coup de balais dans le derrière! Les compliments elles adore! Tu dois toujours en faire, même si tu trouve que rien a changé sur elles, tu la complimente! »

Son sourire s’élargie amusé…
Mais alors qu’il allait ouvrir la bouche il aperçu une silhouette apparaître, et reconnu la directrice… Il regarda rapidement l’état de la pièce et grimaça. Cet fois si, c’était vraiment fini. Déjà cette colle, et là l’état de la pièce, et Eilen qui était partit…

«Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ? Et où est Eilen ? »

Lucas se mordit la lèvre et remonta ses genoux, et posa ses bras dessus … Ne sachant que répondre…

Une foi l’explication terminer il aperçu un sourire sur les lèvres du jeune homme. Il avait réussi a lui tirer un sourire, c’était déjà cela. Et puis après tout, un cœur prisé, c’est difficile a recoller, donc un sourire était vraiment le bien venu.
Mais ceci était vite dit, a peine avait-il sourit, qu’il le vit devenir blanc comme linge… Il fronça les sourcils et porta son regard vers l’endroit où il semblait figé… Et se figea a son tour, la bouche en forme de cercle, puis pinça les lèvres et se releva rapidement, passant sa main dans ses cheveux gêné… Il allait se faire engueuler…

Il vit le regard de Lizzy balayer toute la pièce et plus elle regardait, plus ses yeux semblait s’agrandir… Il grimaça et prit un air naturel alors que intérieurement, il paniquait légèrement. Une fois qu’elle fit le tour des murs, elle les regarda un par un … Comme si elle se demandait le quel elle prendrait pour taper sur l’autre.

Il repensa aux paroles qu'il avait adressé a Lucas il y a peu, et regarda Lizzy

- T’ai-je dis a quelle point tu étais rayonnante aujourd’hui?

Dit-il en la regardant avec un sourire en coin. Puis regarda le garçon et lui fit un clin d’œil.

«Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ? Et où est Eilen ? »

Son ton était neutre, c’est se qui l’effraya le plus, il vit Lucas, et
se rendit compte que c’était a lui d’agir, le garçon n’étant pas
vraiment en mesure de parler…

-Que c’est-il passé ici hum? Oui bonne question madame la directrice… Vois-tu ceci relève d’une question plus rhétorique qu’est « Mais qu'est ce qu'il a pu donc bien passer par la tête d’une personne, pour que celle-ci face tout se bazar, c’est-à-dire, jeté la peinture sur tout les mur », C’est pas très voyant je trouve… Sa… Donne un genre, c’est plus… Jeune! Sa change, c’est moins vieillot. Tu trouve pas Lucas?

Tente t-il de dire pour détourner la première question, et en se qui concerne la seconde, a propose d’Eilen, et fit de grand pas a travers la pièce pour éviter la peinture et se posa contre un morceau de mur sec:

- Eilen? Je l’ai croisé, elle… Avait une envi pressante. C’est dingue comment vous semblez hargneuse quand vous avez envi d’aller aux toilettes.

Dit-il en lui souriant malicieux