Akiiko =D

Histoire :

Il y a 16an, une japonaise très a cheval sur ses principes c’était mariée avec un homme d’affaires américain venu pour marchander avec le père de cette femme. L’enfant qui n’acquit de cette union fut appelé Akiiko. En hommage au père de cette femme. Mais cette histoire qui aurait pu devenir un conte de fée pour eux tourna au cauchemar. L’homme d’affaires perdit son travail, et peut de temps après eut un accident de voiture. Sa femme ne se remit jamais du choc et 1an après elle se suicida en fonçant avec sa voiture vers le précipice qui avait vu la mort de son mari 1an avant. Akiiko se trouvais justement dans la voiture a se moment, il voulait faire une surprise a sa mère, sans se douter de se qu’elle allait faire. Quand il sortit de derrière les fauteuils sa mère hurla fit plusieurs dérapages et s’arrêta contre un pilonne électrique qui tomba sur la voiture. Akiiko réussit à sortir, il avait des morceaux de verre plantés dans le corps en un gros morceau de métal planté dans la poitrine, il se traina hors du véhicule. Il voyait sa mère toujours dans son siège, les brisures de la vitre avaient pénétrées ca et la de son corps et le pilonne lui bloquais les jambes. Akiiko la regardais sans vraiment comprendre il voyait qu’elle avait mal il lui criait de sortir vite. Mais elle ne pouvait pas, elle le regardait elle pleurait toute les larmes de son corps, lui aussi pleurais il commençait. Quelques minutes plus tard, les yeux de sa mère devinrent vitreux et fixes, elle arrêta de se débattre. Akiiko était près d’elle il pleurait, pleurait, il tirait la main sans vie de sa mère près de lui comme pour la ramener. Puis il ne vit plus rien le noir complet. Quand il se réveilla il était dans une chambre. Des gens en blouse blanche le regardaient, ils avaient l’air heureux et inquiet. L’un d’eux lui dit qu’il avait été dans le coma depuis 3mois suite à l’accident. Il lui montrait ensuite son torse ou on voyait nettement des traces de brulures et une cicatrice. Il lui expliqua qu’un morceau de métal c’était plant là et kils avaient eut du mal à l’enlever car il avait fondu aux dires des médecins, et qu’il avait recouvert une partie des tissus proches. Ils avaient donc dut l’extraire petit à petit pendant plusieurs jours d’affilés. Et qu’il avait fait la même chose pour les bouts de verre. Un médecin fit allusion au fait que sa mère était couverte de verre comme une statue. Mais se ravisa immédiatement.
Les années qui passèrent, Akiiko les regardât depuis la fenêtre du pensionnat dans lequel il était. Pendant cette longue période il ne parlait que peu et ne souriait jamais. Puis il se fit renvoyé du pensionnat pour avoir dit à un prof ce qu’il pensait de lui. Il vécut dans la rue pendant un petit moment et c’est la qui pris vraiment conscience de son don. Ce don qui fut bien utilisé par l’homme qui lui avait fait découvrir. Akiiko devait faire des ouvertures dans des coffres des murs et tout se qui pouvais intéresser cet homme et les enfants qu’il avait recueillit. Mais utiliser son pouvoir nuisait à Akiiko autant qu’il aidait son exploiteur. Il était souvent mal, vomissait et parfois quand il était l’objet de vives émotion, il devenait l’objet de son pouvoir et ne le contrôlais plus.C’est comme sa que son exploiteur mourut, écrasé par un pan de mur. Et qu’Akiiko reparti a l’hôpital dans le coma. Mais cette fois si il se réveilla quelques jours plus tard. Et il partit pour l’Institut après qu’un médecin lui ait amené une lettre à son nom expliquant ce qu’était l’institut.


Test RP :
Akiiko regardais l’eau aller et venir sur la rive. Il venait d’arriver a l’Institut, son passage dans la rue l’avait totalement changé et il se demandait si la personne qui s’en occupais apprécierait ou non son comportement. Après tout il savait que s’il n’était pas accepté ici il retournerait dans la rue. Il mit son doit dans l’eau. Elle monta sur sa main pour devenir une sorte de gant. Il secoua la mais et toute l’eau retomba. Il continua à regarder l’eau puis se leva et commença à marcher vers l’institut. Puis son caractère refit surface après ce moment de calme anxieux. Il se mit a courir vers la porte puis face a elle il se mit a rire et dit tout haut :

-Ma belle tu me gène !

Il prit la poigné et tira vers lui. Elle s’allongeât comme si elle était en chewing-gum. Il la laissa tombé et ajouta :

-Hé bhé dit moi c’est pas la forme !

Il était contant de sa connerie. Il ouvrit la porte comme un comédien au théâtre. Les gens derrière le regardèrent étonnés, puis se mirent à rire.Il ramassa la poigné de la porte et la tira pour la donner a se qui semblais être un prof, et lui dit en souriant :

-Tenez votre poignée

Puis il regardât la petite insigne sur sa poitrine avec marqué Direction. Il fit un grand sourire en se commentant intérieurement la découverte :

Bha je commence bien moi