Mark'o'Black

Histoire : Avant, Mark menait une existence paisible. Il vivait dans un petit village isolé et respirant la nature. Il avait beaucoup d'amis, une amie... spéciale, et une famille solidaire. Mais ses pouvoirs l'anéantirent: Lorsqu'il les découvrit à l'âge de 6 ans, il les montra à ses amis, et beaucoup furent impressionés: mais, lorsqu'il tenta de créer une ombre plus complexe qu'un simple oiseau, celle-ci échappa à son contrôle, et attaqua un de ses amis, qui, même s'il ne mourut pas, fut gravement blessé, et perdit l'usage d'un oeil. Mark fut désormais considéré comme un monstre, et fut mis au rebut. Il ne fut pas exilé: mais en un an, le village fut intégralment dévidé. Au bout de cette funeste année, il se réveilla, sans trouver personne dans tout le village: même pas ses parents. Son village était isolé de tous, il ne pouvait donc pas partir de chez lui, et, bien qu'il ait Internet, n'ayant plus aucun ami, il ne savait pas comment envoyer un appel au secours. Il mena donc une vie solitaire, dépressive, et, comme la seule chose qui le maintenait en vie était une lâcheté d'une ampleur telle qu'il n'avait même pas le cran de se suicider, il décida de s'entraîner à ce à quoi il était bon: le tir à l'arc, l'utilisation du sabre, et bien sûr, ses pouvoirs, pour pouvoir, peut-être, avoir un jour un accident, voir acquérir le courage nécessaire à se faire passer soi-même de vie à trépas. A l'anniversaire de ses 14 ans, un homme assez étrange vint le voir.
- Bonjour. Tu dois être Mark o'Black?
- Qu'est-ce que ça peut vous faire?
- Tu vas venir avec moi.
- Pourquoi?
- Pour apprendre à maîtriser tes pouvoirs.
- Mes?... Qui vous en a parlé?
- Notre télépathe chargé de détecter les nouveaux élèves de l'Institut.
- L'Institut? Qu'est-ce que c'est?
- Je t'expliquerais en chemin.
Mark réfléchit, et se dit qu'après tout, il n'avait rien à perdre. Il prit donc juste son sabre et son arc, et répondit:
- Très bien. Je vous suit.
Test RP :
En arrivant sur l'île, il remarqua tout d'abord qu'elle était êxtrêmement lumineuse, même de nuit, et donc, propice à ses pouvoirs. En débarquant, il constata le calme absolu qui rgnait sur l'île. On entendait les bruits de la nature, mais c'est tout. Et surtout, il n'y avait pas d'Institut. Tout ce qu'il vit, c'était une femme. Elle s'approcha de lui, et lui dit: "Bonjour, je suis Elisabeth Weir, la directrice de l'Institut. Vous devez être Mark o'Black, notre nouvel élève. Veuillez me suivre." N'ayant pas grand-chose à perdre, il la suivit, néanmoins prêt à se cacher dans l'ombre si ses intentions s'avéraient impures. Elle le fit monter sur un petit scooter, et l'amena, en assez peu de temps, vers un bâtiment si gran que Mark s'étonna de ne pas l'avoir vu tout de suite. Cela ne faisait qu'alimenter les soupçons de Mark. Bien que ce dernier ait très souvent songé assez sérieusement au suicide, l'idée de la douleur ou de la torture qu'on pourrait lui infliger içi lui faisait assez peur, et le rendait très méfiant.
Mais à force de ruminer de si sombres pensées, il ne vit pas le temps passé, et arriva en un rien de temps à l'institut. Une fois arrivé, Elizabeth lui dit: "Tiens, voici les clés de ta chambre. Le numéro est marqué dessus. Voici également un plan de l'institut, pour ne pas te perdre. Je te laisse emménager". Il fit ce qu'elle demanda, prêt à disparaître si le besoin s'en faisait sentir. Comme il était tard, il ne croisa personne dans l'escalier menant à sa chambre, sauf un autre garçon qui dévalait l'escalier à toutes jambes et faillit le faire tomber lui-même. A cause de cela, Mark arriva en haut de l'escalier avec une tension de 140, même s'il reflétait un calme attentif et absolu. Il emménagea sans trop d'encombres, toujours soucieux et méfiant. Il fouilla sa chambre, pour déceler un quelconque système de surveillance. Il passa beaucoup de temps à se poser des questions, telles que "Existe-t-il vraiment d'autres personnes dotés de pouvoir?", "Est-ce un piège", "Pourquoi tout est si calme?", bref, tout se résumait à une seule question: "Est-ce vraiment possible?". Mais très vite, Morphée eût raison de lui et il s'évanouit presque de sommeil.
Léger bruit de pas sur son palier.
"Bien".